Ciszterci rendi katolikus gimnázium, Eger, 1859
18 9. Atcdános észrevétel. — Egy közönségesen ismert, de sajnos majd minden fényképnél elkerülhetlen hiba fekszik abban, hogy a leveendő tárgy részeinek aránya gyakran megzavartatik, minthogy a sötét kamrához közelebb eső részek aránylag nagyobbak lesznek, mint a távoliak, s hogy az arcképeknél gyakran a kezek, sőt még az orr is nagyobbak lesznek. Ezen hiba annál nagyobb lesz, minél csekélyebb a személy távola a kamrától; miért is ugyanazon eszköznek alkalmazásánál kicsiny, — tehát nagyobb távolban levett — képek arányosabbak, s egyszersmint csinosabbak lesznek, mint a nagyok. És ép ezen alapon nyugszik a nagyobb eszközöknek lényeges előnye, a kicsinyek fölött; mivel a kívánt kép nagyságára az elsők az ülő személynek nagyobb távolt engednek, mint az utóbbiak. — Ezen okokból az ülöszemély kezei vagy lábai, mennyire lehetséges, egymáshoz közel legyenek helyezve, mert ha ez elmulasztatik, a fenebbi hibák annál szembeötlöbbek lesznek, a testtől távolabb levő kéz vagy láb kellő arányukat az archoz elvesztik. — Hasonló hiba keletkezik az építészeti müvek levevésénél, főleg pedig egész épületeknél, midőn a kamra az épületek előtt róna földön áll. Minthogy a felsők, valamint a ház oldalvást fekvő részei a géptől távolabb esnek, így kisebbeknek tűnnek fel, mint az alsó és középső részek, minek szükségképen a vonalok párhuzamosságának megzavarása a következménye. Nagyobb távolnál ezen hiba észrevehetlen lesz, főleg ha alkalom van az eszköznek magasabb álláspontot adni. L’ exposition de 1849 1’ en récompensa en lui décernant une inédaille de premiere classe, pour les specimens qu’ il y fit figurcr. Nous touchons presque au moment oil sa seconde, mais grande découverte, allait victorieusement couronner ses efforts. De nombreux perfectionnemens avaient été apportés k 1’ art par dalidét, qni avait trouvé le moyen de réduire k moins de temps la durée d’ exposition dans la chambre obscure ; par Fiseau, qui avait découvert un procédé de fixage de beaucoup de mérite ; par Blanquard-Evrard, qui avait ajouté des moyens simples et prompts k ceux déjil connus pour les photographies sur papier ; par Niepce de Saint-Victor enfin, qui, comme continuateur de son oncle, était aussi sur la breche et avait remplacé son bitume de Judée par une couche d’ albumine, dont 1’ emploi, il est vrai, donnáit des meilleurs résultats que les précédents, mais dönt V application offrait des difficult«.« sérieuses, parce qu’il nécessitait un sóin extreme en mérne temps qu’une grande habitude, et encore ne réussissait-on pas toujours. Le Gray publia, en 1850, une brochure (Traité pratique de photoyraphie sur papier et sur verre), qui cut les honneurs de la traduction en plusieurs langues, et dans laquelle on retrouve tous ees procédés minutieusement détaillés. Un appendice joint k cet ouvrage dénonfa k la science la solution longtemps cherchée, longtemps attendue, et enfin trouvée. Le Gray avait découvert 1’ agent qui est encore aujourd’hui -universellement répandu dans les productions de 1’ art pho tographique. A la place de bitume de Judée, dont nous avons vu les graves ihcönvénients, et de V albumine, dönt les difficultés étaient nombreuses, il avait substitué le collodion, agent simple, facile, et dont les résultats ont dépassé toute espérance en restant merveilleux, puisqu’ il obtenait des portraits k V ombre en moins de deux secondes. II indiquait dés ce moment V animnniaque comme accelerateur et le proto-sulfat de fér comme révélateur de 1’ image latente. C’ est k cette précieuse découverte que nous devons ces magnifiques épreuves instantanées, dont 1’ effet est si saisissant et dont lui seul avait le secret. Le laborieux expérimentateur eut un véritable suceés dans cette invention, tellement belle, qu’ eile est restée iiqmuable jusq’ k nos jours. II publia presq’ en mérne temps un volume (Traité nouveau theorique et pratique des procédés et manipulations sur papier el sur verre) sur la photographie, qui est le résumé de toutes ses expérimentations, et qui renversa plus d’ une donnée reconnue, consacrée en chimie. On peut dire que ce livre est le seul livre sérieux et raisonné qui ait été écrit sur cette maticre, qui sóit resté dans les sciences et qu'on pent consulter sfirement. Le style en est elaire et coulant, 1’ amateur y trouve dans la premiere partié tout ce qui lui est nécessaire ; la seconde, est consacrée toute entiére k 1’ aridité de la science ; — ce qui faisait dire k un membre illustre de 1’ Académie, quo Le Gray avait édité un nouveau secret en publiant un livre, oh le langage de la chimie était aussi attrayant pour 1’ hőmmé du monde que pour le savant. Ce livre indiqua une troisiéiiíe découverte de sa part, dont 1’ importance ne le céde en rien k ses devanciéres. II avait remarqué, dans une excursion qu’ il fit, combién étaient embarrassantes les preparations indiquées jusqu’ alors, tant des négatifs sur verre, dont la fragilité et le poids surtout étaient un sujet de gene pour un touriste, que des papiers qu’il fallait preparer au moment de 1’ action, ce qui nécessitait toujours un materiel impossible. Il essaya d’ un moyen qui lui réussit complétement, et qui consistait k enduire une feuille de papier de cire vierge, en 1' étendaut avec un fer chaud, de manifere k obtenir une transparence uniforme, puis il lui faisait subir une saturation d’ iodure et la lais- sait sécher. Ce procédé, qu’on appelle papier ciré ä sec, est encore aujourd’hui le seul qu' on puisse employer sous des latitudes trés chaudes, en mérne temps qu’ il est excessivement précieux dans les voyages. Les interminables tcntatives de tout genre auxquelles il s’ étais livre, étaient loin de 1’ avoir enrichi; mais la commandite avide de gain, et d’ exploitation vint le chercher pour le mettre plus en lumiére, dans une centre oh son nom et son talent reconnus de- vaient amener la fortune. Paris n’ était point arrive k cette époque k 1’ apogée oh il est parvenu aujourd’hui.