Társadalomtudomány, 1940 (20. évfolyam, 1-5. szám)

1940 / 1. szám - Veres Péter : Szocializmus - nacionalizmus - Bártfai Szabó László : Pest megye történetének okleveles emlékei 1002-1599-ig

COMPTE RENDŰ 127 nistration, contribue fortement á augmenter l'aversion des masses pour les charges de la famille et porté á son combié la peur neu­rasthénique de l'accroissement. Ce n'est qu'en tenant compte de ces causes complexes qu'on peut se rendre compte si vraiment il y a trop d'hommes pour l'espace disponible. L'auteur est d'avis qu'il n'en saurait étre question actuellement. Etienne Dékán y: Les causes sociales des déficiences de l'éducation publique. (Une question négligée de la sociologie de l'éducation.) Les divers groupements sociaux ne se présentent pas dans le mérne rapport avec la question de l'éducation. Ainsi les organisa­tions spéciales — groupes monotéliques, télies que les entreprises économiques, les exploitations, ne s'occupent, au fond, point de 1'homme, n'étant interessées qu'á son travail. Au lieu d'une éduca­tion générale, ce ne sera, par conséquent, qu'une éducation spéciale, la formation de spécialistes qu'elles se proposeront d'encourager. Les groupements amorphes (la foule, le public etc.) n'offrent qu'un terrain mouvementé et quoiqu' elles entretiennent une certaine agitation continue, un certain dynamisme social, elles ne sauraient se fixer — étant trop instables — sur un but, ni exercer une influence éducatrice constante ou suivie. II n'y a donc que trois catégories de groupements qui puissent entrer en ligne de compte : la commu­nauté (famille, communauté régionale, nation etc), l'État et l'Eglise, — ces derniers étant fondés sur les groupements de la premiere catégorie. Or les insuffisances de l'éducation publique résultent (provien­nent) du fait que les communautés, intéressées á assurer leur propre avenir par l'éducation adéquate de la jeunesse, réellement désireuses de former d'homme tout entier» (ayant, comme com­munautés, des tendences naturellement totalitaires, attachées au service de fins divers, d'intéréts vitaux multiples, et nullement spécialisées) se trouvent de nos jours en voie d'énervement ou de déclin. La plus petité de ces communautés, la famille, est sur­chargée, les communautés régionales se trouvent en dissolution — conséquence de la révolution des Communications et des transports, en cours depuis tantőt un siécle —•; et quant á la vie nationale, elle se trouve massifiée, déviée dans un sens matériel, envahie par les exploitations, urbanisée outre mesure, etc. A remarquer comme

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