Imre Jakabffy (szerk.): Ars Decorativa 5. (Budapest, 1977)

GOMBOS, Károly: Alte armenische Drachenteppiche

7. NAPPE COMMEMORATIVE LA CONQUÊTE DE TURIN, FLANDRE, 1707 pièces. 15 L'arrangement du dessin est ici également de symétrie réfléchissante. Dans le miroir en haut, entre une paire d'anges flottants et claironnants une aigle bicé­phale tient la couronne impériale, en bas de chaque ange une figure équestre cou­verte de lauriers tenant le bâton de ma­réchal au ceinturon, fait sauter sa monture. Au dessous de ceci nous voyons la ville à l'enceinte de murailles, à droite et gauche au dessus, l'inscription BUDA, respective­ment son image réfléchie. A l'avant des fortifications à droite et à gauche deux canons, braqués sur les murs, au dessous scène de bataille. Les quatres endroits des nappes sont encadrés des bordures, dont la bande latérale laisse voir des étandards, boucliers, cuirasses, tambours rangés l'un au dessous de l'autre. Dans les bordures supérieures et inférieures nous voyons deux bannières à l'aigle bicéphale et deux canons braqués en sense inverse. Dans les encoignures de la bande des aigles couron­nées bicéphales. Étant à la recherche des origines diffé­rentes des motifs d'ornements nous cher­chions de prime abord le modèle de la vue de la ville. D'innombrables représen­tations gravées sont restées du château de Buda et même au siège 10 et puisque sur notre nappe le château n'est point entouré du fleuve, on a sélectionné parmi les estampes la vue du nord (fig. 4). Il aurait été bien forcé à trouver une plus ample ressemblance entre les estampes et la ville représentée sur notre nappe. La tour con­struite en brique massive en la partie cen­trale de la ville sur la nappe, aurait pu identifiée avec le djami menu et ronde­lette sur les estampes, quoique il ne porte point le croissant au faîte, mais les autres édifices, surtout les minarets élancés, ne sont point trouvables du tout sur notre nappe. Par contre nous sommes tombés 84

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