Imre Jakabffy (szerk.): Ars Decorativa 2. (Budapest, 1974)

Le Musée des Arts Décoratifs en 1972

citer quelques uns, comme fondamentale­ment importants: Zsigmond Bubics, Dela­marre-Didot, István Delhaes, Miksa Herz, Marcell Nemes, Imre Szalay, Vilmos Zsol­nay, György Ráth et son épouse Gizella Melsiczky, Olga Werther Procopius et son fils Béla Procopius et parmi ceux d'après la Libération Otto Fettick et Rezső Soó, donateurs. La largesse de leurs dons est un merveilleux exemple du patronage des arts décoratifs". L'orateur de la session solennelle a, par la suite, fait connaître la collaboration existante entre le Musée des Arts Décoratifs et les différentes organisations scientifiques et artistiques, par laquelle, dès sa fondation, le Musée s'est intégré au circuit de la vie artistique. Il a parlé de l'importance de l'époque de la République des Conseils dans la vie du Musée et de l'activité fructueuse et des mérites du Commissariat du Peuple à l'Éducation de cette époque-là. Il a évoqué le souvenir d'une importante donation faite par le collectionneur Ferenc Hopp en 1919, qui a légué, par testament toute sa collec­tion d'oeuvres artistiques d'Asie Orientale ainsi que sa villa de l'Avenue „Népköztár­saság". Bien que les quelques dizaines d'années après la Première Guerre mondiale aient paralysé à cause des difficultés matérielles, l'évolution de la vie du Musée, et qu'au cours de la Deuxième Guerre mondiale, le bâtiment ait été gravement endommagé — a continué son discours M. Kőműves — la reconstruction de grande envergure qui a commencé après la Libération a rendu possible l'organisation des dépôts et ré­serves et la construction de nouvelles ex­positions. Géza Dáni a légué en 1948 au Musée des Arts Décoratifs le château de Nagytétény du XVIII e siècle que l'État a restauré à de grands frais et qui abrite actuellement les objets de l'exposition de meubles du Musée, d'une manière représen­tative. ,,En fêtant le centenaire, nous ne voulons pas préconiser une situation ter­minée, renfermées, mais en analysant le passé et le présent, nous célébrons avec confiance et certitude que nouvelles per­spectives s'ouvriront devant nous vers un avenir plein de résultats, vers de nouvelles stations de fête" — a terminé son discours solennel M. Imre Kőműves, vice-président. Ensuite, M. Frigyes Pogány, le recteur de l'École Supérieur d'Art Décoratif a présenté ses hommages au musée de cent ans: „Die mir zugefallene Aufgabe, Sie feierlich zu begrüssen, erfüllt mich mit einiger Sorge: ob meine Rede der grossen Bedeutung der Jubiläumssitzung auch ge­recht wird, der Bedeutung, die wir dieser hervorragenden Institution bei der Erzie­hung der neuen Kunstgewerbler-Genera­tion beimessen. Die Ede-Telcs-Verdienst­medaille für Kunstgewerbe führt das Mot­to: Die Vergangenheit ist der Grundstein aller Zukunft. Dieses Motto spricht kurz und bündig den geistigen Gehalt des Mu­seums aus. Unser Wahlspruch auf der Hoch­schule aber lautet: Formet die Umgebung des Menschen so, dass sie selbst menschen­formend sei. Die beiden Wahlsprüche ver­flechten sich letztlich. Die Worte sind ver­schieden, doch die Gedanken, die sie ent­halten, sind nicht voneinander zu trennen. Das Grundgesetz der Welt ist ja die Be­wegung, das Geschehen, es sind die Kräfte, die die Brücke von der Vergangenheit in die Zukunft bauen. Und Lehren, Erziehen ist nichts anderes als die auf die Erfah­rungen der Vergangenheit und Gegenwart gestützte Hilfe beim Aufbau der Zukunft. Doch unser Leben verläuft nach der zyklischen Gesetzmässigkeit von Geburt 192

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