Vízügyi Közlemények, 1987 (69. évfolyam)
4. füzet - Papp Zoltán: A naptevékenység és az időjárás összefüggése
628 Bényey Zoltán Relationship between solar activity and weather by Dr. Z. PAPP, C. E. geologist Long time-series of annual average air-temperature and of annual quantities of precipitation (Fig. 3.) were compared by the author with the 11 year-long cyclic fluctuations of solar activity by using the method of the "superposition of time-periods" (Figs. 1 and 2.) According to him, the tendency of the changes in air-temperature was identical to the intensity-regime in solar activities (Fig. 2.). This was not true - however - with the distribution of the annual quantities of precipitation. As a consequence, the occurrence of dry and wet (water-logged) years could not be explained by the author - except in a few cases - by any combination of the distributions of air-temperature and precipitation. Based on his own and on foreign results, the author arrived at the conclusion that weatherforecasting built on the cyclic changes of solar activity can be considered as acceptable only on the level of reliance on experiences and observations. Reliability and accuracy of such forecasts may be useful only if the effect-mechanism of the sun-Earth relationship - in the realm of physics and meteorology - is made clear. The author investigated two 11 year-long cycles of solar activity - between 1860 and 1985 form the point of view of an assumed relationship between solar activity and water logging (Fig. 4.). He pointed to the fact that the wet years came later by 2-3 years than the forecasted time points, for reasons not explainable. Further, both aforementioned time-series of wet years culminated when local maximums occurred in the solar activity. Relation entre les activités solaires et le régime météorologique par Dr. PAPP Z. géologique L'auteur a comparé les longues séries des données des moyennes annulles de la température de l'air, de la précipitation et des caractéristiques de l'activités solaires à périodicité de 11 années (Figure. 3.). Il a utilisé la « méthode de la superposition des durées du temps » (Figures 1. et 2.). Selon l'avis de l'auteur, la tendence de la variation de la température de l'air est identiqe au régime de l'intensité de l'activité solaire (Figure 2.), cependant elle est différente du régime de la précipitation. Ainsi - sauf quelques exceptions -, la formation des années sèches et humides (avec les eaux stagnantes) ne s'explique pas par la combinaison de la température et de la précipitation. A partir des résultats étrangers et de l'auteur, il constate que les prévisions météorologiques, actuellement doivent se baser sur les expériences et les observations. Les prévisions météorologiques basées sur la prise en considération des variations de l'intensité cycliques de l'activités solaires peuvent être améliorer seulement après l'étude des méchanismes d'effet physique-météorologique de la rélation entre le Soleil et la Terre. L'auteur - à partir de ces propres résultats - a vérifié la prévision du régime des années humides avec les eaux stagnantes pour la période de 1860 à 1985 (Figure 4.). Il s'agit de deux périodes de 11 années (des cycles de l'activité solaire). 11 a constaté un retard de 2 à 3 années des périodes humides par rapport à la prévision. Ce retard n'est pas encore expliqué. Différemment des expériences, les années humides (avec les aux stagnantes) se sont formées en périodes des activités maximales solaires.