Vízügyi Közlemények, 1971 (53. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

(49) drauliques fluviaux construits sur des sols perméables. Par rapport aux valeurs déterminées statiquement la variation de la poussée peur être produite par. — les particularités de l'eau et des grains du sol (fig. 1) — la passage entre les poussées hydrostatiques et hydrodynamiques (fig. 2—3). — le contact imperméable de l'ouvrage d'art et des grains du sol (fig. 4), — les variations de structure produites sous l'effet de l'eau de filtration (fig. 5 — G), comme la suffusion intérieure, la suffusion de contact et le colmatage intérieure, — l'affaissement des ouvrages d'art (fig. 7—8), — le colmatage provoqué par le débit solide ( fig. 9), — les variations du lit, c'est à dire les délavements et les sédiments à proximité de l'ouvrage d'art ( fig. 10.), — les pressions dynamiques provenant de la variation des charges d'exploitation, p.ex. boules, vagues de choc (fig. 11), — l'oscillation de la température de l'eau de filtration, — l'émanation d'air, — le rabattement de la nappe aquifère pendant la construction. 11 faut donc prendre en considération des facteurs de diminution et d'augmen­tation dans le calcul de la poussée, pour lequel l'étude donne une méthode. Le calcul ainsi effectué a démontré une variation de poussée de 10 — 20 % dans un barrage moyen (pour une différence de niveau d'eau d'exploitation de 7 m) 3. D. Varga, ingénieur: Aplatissement de l'onde de crue dans le réservoir de Merenye (texte hongrois p. 225) Le réservoir de Merenye se situe dans la région de collines au Sud-Ouest de la Hongrie (fig. 1 ), sur le cours d'eau du bras principal de la Gyöngyös. Sa surface d'eau est de 122 ha et il peut être considéré comme le type des petits réservoirs des région de collines du point de vue de la retenue de vagues de crue. Le 9 août 1970 une précipitation de 43 mm a précédé l'averse de 52 mm 10, qui a été suivie de précipitations ultérieures. Ainsi une onde de crue d'une durée de 200 heures a défilé, qui culminait déjà le 11 au réservoir, et a occasionné une augmentation du niveau d'eau de 117 cm au-dessus de la lame de trop plein. PendanL la période de l'onde de crue on a effectué des observations et des mesures, qui ont rendu possible l'établissement du graphique de la fig. 2 représentant le défilé de la vague de crue, le changement de volume de l'eau mise en réservoir, la variation des niveaux d'eau et le trop-plein, d'une façon très claire. L'exemple présente la relation entre les courbes en montrant les niveaux d'eau caractéristiques, les débits d'eau, le volume d'eau en réservoir dans la 100ü' me heure de la vague de crue. Le contrôle du procédé consiste en ce que les points 8 et 2 tombent sur une horizontale (pour 4,2 m 3/sec). La bonne concordance de l'exemple prouve la viabilité du procédé illustratif. L'effet de diminution de crue du réservoir est caractérisé par le fait qu'il a diminué le débit de pointe de 0,43 fois, le volume maximal d'eau en réservoir est 0,34 fois le volume d'eau total de la vague de crue. Le débit de pointe peut se produire avec une probabilité de 3 %. La fig. 3 présente côté amont, la fig. 4 le côté aval de la crue. Sous l'effet du réservoir le débit d'eau sous le réservoir a considérablement diminué, ce qui était favorable du point de vue des voies publiques.

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