Vízügyi Közlemények, 1971 (53. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

(17) maximum journalier de la température et la précipitation tombée. Pour la représen­tation correcte de cette relation l'auteur a dressé, pour les plantes à arroser les plus importantes, un tableau qui contient pour des périodes relativement courtes de la saison l'allure du besoin en eau des plantes en fonction de la température. On a réussi à exprimer la série des courbes construites des tableaux mathématiquement aussi, avec une série de fonctions exponentielles, puis linéaires. Connaissant le pro­nostic météorologique du lendemain on peut, en possession de cette série de fonctions, déterminer avec l'exactitude et la probabilité égalant la sûreté du pronostic le débit d'eau à fournir pour le prélèvement principal du système d'irrigation. Il y a moyen de convertir la série de fonctions pour un système d'irrigation d'un même ensemble de plantes, mais d'une autre dimension. La méthode, se basant sur les séries de données météorologiques, resp. hydrologi­ques de nombreuses années, promet aussi de servir de base pour dresser des projets de la consommation d'eau mensuelle, annuelle ou de plusieurs années et des besoins en énergie des grands systèmes d'irrigation. Le contrôle ultérieur de l'exploitation d'une courte période, dans un système d'irrigation dépassant 30 000 hectares, était bien en accord avec les données effectives. Pour des systèmes moindres, d'une surface de quelques milliers de hectares, on com­mence le contrôle dans le proche avenir. SUR LE RAPPORT ENTRE LA THÉORIE DU PASSAGE D'ÉCOULEMENT ET LA THÉORIE DES SYSTÈMES LINÉAIRES I. Horváth ingénieur (Voir texte hongrois p. 44) La théorie du passage de l'écoulement, fort bien applicable aux examens hy­drauliques de divers bassins ainsi que d'ouvrages d'art de l'épuration, peut être approchée du côté mathématique aussi par la théorie des systèmes linéaires, et est ainsi plus facile à généraliser. Les propriétés fondamentales des systèmes linéaires sont analysées par l'ouvrage de O. Levenspiel. La fonction de transition (2) constitue la réponse à ^excitation de forme de signal échelon-unité (1), cependant le dosage de la matière de* signalisation peut être compris aussi comme excitation. L'autre fonction caractérisant le système est la fonction poids, répondant à la fonction impulsionnelle d'après Dirac. On peut prouver qu'il y a un rapport de courbe différentielle-intégrale (8) entre la fonction de transition et la fonction poids. Si le dosage se fait suivant l'impulsion Dirac, la réponse est l'onde de passage, donc elle est aussi caractéristique pour le système. Les opérations avec les fonctions caractérisant le système sont facilitées par la transformation Laplace, qui a été utilisée déjà par plusieurs auteurs au calcul des caractéristiques du passage (6 — 8). Les principes fondamentaux mathématiques peuvent donc être appliqués aux examens des systèmes de passage. COMMUNICATIONS SUCCINTES ET COMPTES RENDUS 1. Mme S., Gergely: Analyse économique de la politique d'économie hydrauli­que en France (voir texte hongrois p. (51) L'auteur a étudié, lors de son voyage d'étude en France, les dispositifs technico­économiques pris en France Méridionale, qui ont pour but la réorganisation des contrées arriérées du pays à cause des conditions défavorables de la nature, en vue de créer un niveau de production et de rentabilité correspondant à l'équilibre économi­que et à la production moyenne nationale. Le projet d'aménagement a résumé l'es­sentiel de l'intervention dans l'assurance des conditions modernes de l'économie hy­draulique.

Next

/
Thumbnails
Contents