Vízügyi Közlemények, 1965 (47. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

<131) 2. I. Illés, ingénieur: Facteurs influençant le fonctionnement des dessableurs à souffleurs d'air (texte hongrois p. 552) Nous avons exposé au fascicule 1964/3 de notre Revue les premiers essais au sujet des dessableurs à souffleurs d'air exécutés en Hongrie. Les examens les plus récents furent effectués sur le dessableur disposé suivant fig. 1 avec des longueurs de grille de 40, 60 et 100 cm, où la distance entre les trous de soufflage était de 4 cm. Les grilles ont été placées à 48, 96 et 144 cm sous le niveau de l'eau, la quantité d'air insoufflé était de 1,1, 1,5 resp. 2,0 m 3/heure. La vitesse du courant a été déter­minée avec des flotteurs à l'état solide. Sur la base de la figure des courants on pouvait distinguer plusieurs zones carac­téristiques (fig. 3). Au milieu un domaine incertain, vers l'extérieur un domaine de transition et en haut un de grandes vitesses. Les résultats des essais sont résumés sur des graphiques qui donnent une rela­tion entre la profondeur et la longueur de la grille, la vitesse, la masse d'eau mise en mouvement et la quantité d'air insoufflée (fig. 4 — (l) et aident dans l'élaboration de projets. 3. L. Muszkalay, ingénieur: Jaugeage du débit accéléré (texte hongrois p. 561) Avec les méthodes usuelles le jaugeage effectué avec le moulinet hydrométrique ne peut donner — surtout à cause de la longueur du calcul —, un résultat immédiat il est donc difficile de déterminer celui-ci sur place. Si la répartition des points est uniforme, nous formons, la durée de la mesure étant de 50 secondes par point, à l'aide d'un instrument enregistrant le nombre des tours, le total de ceux-ci. En dé­duisant de ce dernier le nombre des tours moyens, nous pouvons lire de la courbe de tarage directement la vitesse moyenne correspondante. Ainsi la durée des calculs peut se réduire à 10 —15 minutes au lieu de plusieurs heures et le personnel occupé aux calcul peut être 1/5—1/10 de celui occupé au jaugeage. Pour justifier la méthode nous présentons à titre d'exemple les résultats tie jaugeages exécutés dans un canal d'essai dans des conditions assez défavorables (fig. 1) à l'aide d'un moulinet hydrométrique à aile, type Minor de fabrication Ott servant à la mesure des composants (fig. 3). La dispersion relative des jaugeages était de 3,34%, ce qui peut être qualifié de fort avantageuse dans les circonstances données. Le procédé de jaugeage exposé peut être recommandé surtout pour des séries de mesures. F. Hamvas, ingénieur: Les variations des la souspression aux ouvrages de la chute de Tiszalök (texte hongrois p. 566) Le but du piézométre disposé dans les ouvrages d'art de la chute de Tiszalök et des puits d'observation de la nappe aquifère placés dans ses alentours (fig. 1) était de pouvoir signaler d'avance les situations menaçant la stabilité, respective­ment d'assurer que les résultats des essais el calculs puissent être comparés aux données de la réalité. Les calculs préliminaires furent exécutés avec la méthode Warren Weawer, modi­fiée par Khosla (fig. 2), les essais sur des modèles hydrauliques à échelle réduite dans la proportion de 1 : 50, puis avec l'analogie électrique. En établissant la comparaison avec les données d'observation, il faut tenir compte de ce que les essais furent exécutés dans un état permanent en plan, tandis (pie dans la réalité c'est une filtration spatiale qui se produit. Pour cette raison nous avons systématisé les données d'observations suivant les méthodes de la statistique mathématique avec le calcul des corrélations, dont le tableau I est un exemple. Les lignes de corrélation sont indiquées sur fig. 3, tandis (pie les pressions hydrodyna­miques tliécrique, et réelle, déterminées dans un cas donné sont présentées sur la fig. 4. Les pressions sont plus petites dans la réalité, cependant la chute de pression est grosso modo identique avec les résultats de calculs. Dans la proximité des courbes le niveau de la nappe aquifère suit bien la varia­tion de la différence des niveaux d'eau, ce que prouve la fig. 5.

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