Vízügyi Közlemények, 1965 (47. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

<96) de l'hiver dépasse celle de l'été non seulement en qualité, mais en importance aussi, et ceci constitue la base non seulement de l'économie hydrique de la nature, mais aussi de l'irrigation combinée. D'après la figure l'humidité de l'hiver s'épuise à peu près au début de juillet. Jusqu'à ce moment la plante couvre son besoin d'humidité simultanément d'en bas, du sol, et d'en haut par les précipitations d'été, à partir du début de juillet jusqu'à environ le deuxième tiers de ce mois, uniquement par les précipitations. Alors le développement est terminé et le besoin en eau cesse progressivement. Tout ceci se voit au secteur b-c de la courbe de la fig. 2. La courbe de croissance no. 3 se produit par une irrigation d'été de 400 mm. L'irrigation combinée fait diminuer cette quantité d'eau d'irrigation d'env. la moitié, en produisant sans changement l'humidité de 76 mm. COMMUNICATIONS SUCCINCTES ET COMPTES RENDUS 1. J. Dudás et L. Szitkey: La proportion do la population munie de distribution d'eau et de canalisation dans les divers pays du globe (voir texte hongrois p. 374) La proportion mondiale de la population munie de distribution d'eau et de canalisation peut être estimée à 30 — 20%, ce qui s'explique en premier lieu par le fait, que les pays les plus peuplés du globe constituent des territoires économiquement arriérés, où la notion de logement n'est pas identique au sens que ce terme a en Europe. Partant ce n'est qu'aux pays arriérés que le but peut être d'atteindre la proportion mondiale. Nous aurons une image plus correcte, si nous ne considérons que les pays économiquement développés, où la proportion de la population munie de distribution d'eau est de 70% et celle des habitants raccordés à une canalisation est de 60%. Il résulte des données communiquées dans le tableau 1 que les différences entre les proportions déterminées ci-dessus et celles de la situation dans les villes et villages sont les moins grandes dans les pays les plus développés. Les états du globe peuvent être divisés en six groupes : pays entièrement, favorablement, bien, médiocrement et peu pourvus de ressources, enfin pays se trouvant à un degré primitif. 2. O. Haszpra, ingénieur: Pertes de charge dans les transitions à rétrécissement de canaux à profil trapézoïdal, (voir texte hongrois p. 380) Dans ses études précédentes (voir bibliographie 1., 2.) l'auteur a démontré plusieurs avantages des transitions à surfaces brisées des canaux à profil trapézoïdal, mais ne s'est occupé de leur comportement hydraulique qu'au point de vue de leur comparaison qualitative. Dans son étude présente il s'occupe des formules des pertes des diverses transitions. L'auteur détermine dans une forme générale pour plusieurs groupes de transition la chute de niveau d'eau de la transition à surfaces brisées suivant fig. 2 entre des secteurs de canaux caractérisés par les données géométriques de la fig. 1. La formule générale de la chute du niveau d'eau ou de la perte de charge est valable suivant formule (1) pour les types de transition aux caractéristiques énumérés dans le tableau I, tandis que c'est la formule (5 a) unifiée du point de vue de la dimension qui est valable entre les limites (5 b-c). Ce sont les figures 3, 4 et 6 qui montrent pour les divers groupes de transition les valeurs de c, p et n. Entre les figures 4 et 5 l'interpolation (14) est possible. La formule (16 a) de la perte, où la valeur de A varie entre 0,86 et 1,16 est moins exacte, mais elle est fort simple. Pour une évaluation on peut se servir dans les conditions (16 c-f) de la formule (16 b). 3. L. Török, ingénieur, Expériences de la construction de revêtements en plaques de béton à armature en ïilet et de canaux en construction à la coque (voir texte hongrois p. 389). Les plaques de revêtement épaisses de 25 — 30 mm aux dimensions de 50x130 et de 50 x 180 cm sont confectionnées avec du sable granuleux à la dimension des grains maximale de 20 mm et au module de finesse de 3,50 — 3,70, avec un dosaes de ciment de 300 kg/m

3 enfin avec un facteur eau/ciment de 0,60. L'armature get