Vízügyi Közlemények, 1960 (42. évfolyam)

4. füzet - VI. Képek a Föld különböző részeinek vízépítési munkáiról

(43) déduisant la relation cherchée une des conditions de limite, celle de la limite intérieure étanche de la couche aquifère. Pour la détermination du débit en question il est cependant nécéssaire, en fin de compte, de prendre en considération cette limitation inférieure. A cette fin la méthode en question introduit une approximation, qui conduit à un écart par rapport à la valeur fournie par la méthode de Pavlovsky pouvant être considérée théoriquement exacte (fig. 4). Le troisième procédé tient compte de manière exacte, comme celui cité en premier lieu, des conditions des limites, mais arrive quand même à une relation plus simple — au moins lorsque le contour de la fondation n'est pas composé — en approchant par des suppositions plus simples le caractère physique du mouvement, (.'est pour cette raison que nous appelons ce procédé, le nôtre, approximation hydraulique (fig. 5, 0. 7). La quatrième méthode est celle de la détermination expérimentale du débit. Le plus simple et pour cette raison le plus souvent employé parmi les divers procédés ' expérimentaux est celui basé sur l'analogie électrique. Comme résultat de celle-ci nous déterminons graphiquement le faisceau de courbes de courant et de potentiel et partant de ce réseau de courants nous calculons le débit. Cette méthode est évidem­ment entachée de loutes les erreurs qui caractérisent en général le calcul du débit sur la base d'un réseau de courants obtenu par diverses voies dig. 3). Enfin en dernier lieu l'auteur mentionne cette formule expérimentale qu'il a dressée il y a quelque temps déjà, sur la base des résultats de mesures expérimen­tales et qui n'est donc guère applicable à tout contour de fondations et pour toute dimension caractéristique pouvant se présenter, mais seulement dans le domaine restreint auquel appartiennent les mesures expérimentales ayant servi à déterminer f la relation cherchée. L'élaboration d'exemples numériques avait pour but de caractériser la sûreté des procédés examinés. A cette fin les exemples embrassaient tout le domaine des variables indépendantes — largeur de la plaque de fondation, profondeur du rideau de palplanches et sa situation, épaisseur de la couche perméable - dans lequel des problèmes peuvent se présenter en pratique. Les résultats des exemples sont résumés en tableaux et comparés aux débits pouvant être déterminés avec la transformation d'après Pavlovsky que l'on peut considérer théoriquement exacts (voir tableaux). On a pu constater sur la base des exemples élaborés et de leurs résultats résumés comme il a été dit, qu'aucun des cinq procédés ne s'avère être une méthode de calcul rapide et généralement applicable, satisfaisant aux besoins du calcul pratique. En ce qui concerne notamment la formule expérimentale citée en dernier lieu, comme nous venons de le dire, elle ne peut s'appliquer généralement, on peut tout au plus, sur la base de mesures expérimentales nouvelles, élargir le domaine de son applicabilité en déterminant, sous une forme plus générale, les constantes figurant dans l'équation. C'est dans cet ordre d'idées que l'auteur a'déterminé des constantes expérimen­tales dont l'application fournit pour n'importe quelle combinaison de la plaque de fondation et du rideau de palplanches simple un débit concordant bien dans le domaine tout entier avec la valeur théorique. L'écart est généralement positif et ne dépasse pas les 10%. Ce n'est qu'au cas où la valeur du rapport entre les dimensions de la fondation et l'épaisseur de la couche aquifère est extrême que ces limites sont dépassées. Se basant sur les études et calculs exécutés l'auteur propose donc la formule suivante pour le calcul du débit s'infiltrant. dans une couche aquifère d'épaisseur finie sous une fondation formée par n'importe quelle combinaison d'une plaque plane et d'un seul rideau de palplanches oii к est le coefficient de perméabilité de la couche [m/sec], H la différence de niveau provoquant la filtration |m], - étant à calculer en fonction du contour de la fonda­tion et de l'épaisseur de la couche perméable, avec la formule ci-dessous, si b est la q = ar sh

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