Vízügyi Közlemények, 1956 (38. évfolyam)

2. füzet - VII. Kisebb közlemények

(97) EFFECT OF RUN-OF-RIVER POWER PLANTS ON NAVIGATION

1 E. Mosonyi (Figures and tables on pp 451—463 of Hungarian text.) UDG. 627.4:386.2 In this paper the author deals with one of the problems of the highly diverse correlations in the field of river canalization and aims at proving that canalization has considerable advantages even if the river is navigable in its natural state. The saving in sailing-time can be determined mathematically by taking into consideration the variation of the velocity of stream inside the backwater area. The author bases his arguments upon an approximation by taking the backwater curve as a parabola. Thereby it is also proved that the above assumption serves the benefit of accuracy in calculating the gain in time. The obtainable gain in time during an up and down-stream sail in one reach is expressed by Formula (20) according to which the gain in time is proportional to the sailing-time t

0 in dead-water. Factor Л ean either be computed by using Formula (18) or can be read directly from Figure 3 where the values of parameters a and ß are defined by Formulae (15) and (16) respectively. The resulting gain in time, with an allowance to losses clue to passing through the locks, is given by Formula (23). Finally the author deals with the negligible factors and with their significance. It can be proved that the saving in fuel can be taken as approximately proportional with the gain in sailing time as expressed by Formula (20). All these aspects lead to the conclusion that under circumstances, primarily depending on the original velocity of stream flow, the saving in fuel may reach such an extent that — in special cases — navigation might share in the construction costs of a run-of-river plant even if the river be navigable in its natural state. The author gives a more accurate solution of the problem in Part II., the result of which is shown in Formula (44). INFLUENCE DES BARRAGES EN RIVIERE SUR LA NAVIGATION

1 par É. Mosonyi (Voir pp. 451—463 du texte hongrois) CDU. 627.4 : 386.2 L'article a pour but de vérifier les avantages considérables que l'aménagement des chutes peut offrir au transport fluvial sur des rivières qui sont navigables même dans leur état naturel. Les économies dans la durée du trajet peuvent être définies avec précision mathématique en considérant les lois de la variation des vitesses dans les biefs. L'auteur fait approcher la courbe de remous par une parabole après avoir vérifié que cette hypothèse est du côté de la sécurité pour le calcul du gain de temps. L'économie réalisable pendant un trajet tour-retour dans un bief s'exprime par la formule (20), selon laquelle le temps gagné est proportionnel à la durée du trajet en eau stagnante t

0. Le coefficient de gain К se calcule au moyen de la formule (18) ou peut être lu sur la fig. 3, dont les paramètres a et ß sont définis par (15) et (16). La formule (23) donne le gain de temps résultant compte tenue de la perte d'éclusage. En terminant l'auteur parle des approximations faites par lui et signale leur influence. On peut prouver, que l'économie en combustible est approximativement proportionnelle à l'économie en temps du trajet exprimée par (20). La conclusion s'impose, qu'il est possible de réaliser dans certains cas — en fonction de la vitesse originale du fleuve — des économies considérables en combustible, de sorte que la navigation peut contribuer aux frais d'investissement que représente l'aménagement des chutes sur les fleuves navigables. Dans la 7/ème partie l'auteur expose une solution plus précise du problème dont le résultat est donné par la formule (44). 1 See also Paper 219 H/36 presented to the 5"" World Power Conference (Vienna 1956) with the full text in German. 1 Un texte complet en allemand se trouve dans les Comptes-rendus de la 5

e Conférence Mondiale <le l'Energie tenue en juin 1956 à Vienne (Rapport № 219 H/36).