Vízügyi Közlemények, 1936 (18. évfolyam)

Kivonatok, mellékletek - Kivonat a 4. számhoz

28 Dans cette catégorie rentrent les : Trifolium angulatum sauvage (III. 51.), Trifolium parviflorum (III. 53.), Trifolium striatum (III. 46.), Trifolium fragiferum (III. 49.), Trifolium micranthum (III. 47.), Trifolium levigatum (III. 50.), Lotus tenuifolius (III. 63.), Lotus siliguosus (III. 62.), Trigonella Besseriana (III. 56.), comme plantes pseudohalophyles, tandis que parmi les trèfles cultivés ceux qui supportent le mieux les sols légèrement alcalins sont les : Trifolium repens (III. 54.), Medicago Lupulina (III. 57.) et, dans les terres arables, la luzerne commune. La flore hongroise ne possède aucune espèce indigène d'arbres ou d'arbustes qui, en tant qu'halopliytes, pourraient être utilisées aux boisements sur les terres fortement alcalines, donc sur les sols présentant des efflorescences de soude. Le boisement de ces régions est, à l'heure actuelle, un des problèmes les plus difficiles dans le domaine de la sylviculture. Parmi les végétaux de désert, les espèces des Tamarix importés supportent relativement mieux les sols alcalins, en premier lieu le Tamarix tetrandra (IV. 76.), qui se plaît surtout dans les endroits humides. Les Tamarix se classent plutôt dans la catégorie des arbustes. Dans les endroits salins humides réussissent le mieux les : Salix alba (IV. 64.), Populus alba. Popidus canadensis, Fraxinus excelsior (IV. 79.), Ulmus glabra (IV. 69.), tandis que dans les endroits secs, on recontre plutôt les : Ailanthus glandulosa (IV. 72.), Sophora japonica (IV . 70.), Koelreuteria paniculata (IV. 74.), Gleditschia triacanthos, Elaeagnus angustifolia (IV. 78.) et Pirus piraster. Parmi les nombreuses variétés de chênes, pour les boisements des terres légèrement alcalines, on emploie utilement les : Quercus lanuginosa (IV. 66.), Quercus robur (IV. 67.), Quercus cerris (IV. 65.) et surtout 1 e Quercus tardissima. Parmi les arbustes, on rencontre sur les terres alcalines, outre le Lycium halimifolium les : Syringa vulgaris, Crataegus monogyna, Sambucus nigra, Bibes aureum, Prunus spinosa, tandis que, parmi les arbres fruitiers, ce sont le Prunus armeniaca et le Prunus communis qui supportent le mieux l'alcalinité modérée du sol. Le but principal de l'article est de faire connaître aux ingénieurs s'occupant de la mise en valeur des terres alcalines les végétaux dont la présence permet de procéder à des déductions quant au degré d'alcalinité du sol et ainsi de savoir quelles sont les méthodes utiles à suivre dans les exploitations des terres en question. II. PRINCIPES DE LA SCIENCE DU SOL. A. ENDRÉDY. (Pages 467—540.) I. Pédologie Générale. La notion du sol. Le sol est la couche supérieure de l'écorce terrestre sur laquelle et dans laquelle des plantes vivent ou pourraient vivre. La notion «sol» englobe non seulement l'écorce supérieure foncée, dans la plupart des cas, par l'humus, mais encore toute la succession des couches s'étendant jusqu'à la roclie-mère et

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