Vízügyi Közlemények, 1935 (17. évfolyam)

Kivonatok, mellékletek - Kivonat a 3. számhoz

43 des hauteurs d'eau enregistrées aux échelles limnimétriques les plus proches en aval et en amont (Gyoma et Kunszentmárton), soit la chute de niveau d'eau entre les deux échelles précitées. Sur ce graphique, à l'aide des lignes capricieuses joignant les points correspondant à la pente et à la hauteur d'eau locale, on est à même de représenter les variations journalières du débit de la rivière. On peut très bien distinguer la différence existant, entre l'effet de la crue venant d'amont et celui du remous provenant d'aval, deux circonstances se manifestant de deux côtés par une montée à l'échelle de Szarvas. La ligne interrompue indiquant la variation du débit journalier, dans le cas d'une montée provenant d'amont et d'une hauteur d'eau invariable de la Tisza — donc, quand la hauteur d'eau aussi bien que la chute locale augmentent -— monte de gauche à droite ; l'angle formé avec la verticale «,<30°. Lorsque, simultanément avec l'approche de l'onde, la Tisza monte également la chute locale par suite du remous diminue, la ligne indiquant le débit baisse de gauche à droite ; l'angle formé avec la verticale «

2 est supérieur à 90°, mais inférieur à 180°. L'onde, après avoir culminé — supposant à nouveau qu'il n'y ait aucun remous de la Tisza — la hauteur d'eau aussi bien que la chute vont en diminuant, donc 180°O

3<C270°. Si lors de la baisse, par suite du recul de niveau de l'émissaire, l'effet aspirant de ce dernier se fait également sentir (baisse de hauteur d'eau et augmentation de la pente) 270°<a

4-<360

0. Au moyen de ce graphique, on peut déjà déterminer l'approche de l'onde quand le niveau local baisse encore ou quand il reste inchangé. La ligne interrompue indiquant la variation du débit journalier se redresse avant même l'arrivée effective de la montée, à savoir dès que la tête de la montée s'approche et commence à accroître la chute locale. Dans la suite, on énumère des exemples d'application de la méthode en connexion avec la canalisation proietée du Körös-Tripie. III. DONNEES RELATIVES AU TRAFIC DES VOIES D'EAU AU COURS DES QUATRE PREMIÈRES ANNÉES ÉCOULÉES DEPUIS LA RÉORGANISATION DES STATISTIQUES. DR. J. VÁRSZEGHY. (Pages 429—460.) Les données statistiques les plus importantes du trafic des voies d'eau sont recueillies en Hongrie depuis 1888. Le Traité de Trianon déclarant internationaux presque tous les cours d'eau navigables de la Hongrie, une transformation et un élargissement des méthodes employées pour établir les statistiques s'imposèrent. Le relevé statistique, sur la base des principes nouveaux, commença au début de 1931. Nous allons traiter ci-après séparément les cinq groupes de trafic. 1. Mouvement des marchandises dans les ports fluviaux. Etant donné que la majeure partie du trafic des ports situés sur le Danube et la Tisza est effectuée par les 4 grandes sociétés de navigation se trouvant en étroite collaboration (S. A. Hongroise Royale de Navigation Fluviale et Maritime ; Première C

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e de Navigation à Vapeur Danubienne ; Lloyd Bavarois S. A. de Navigation ; C'

e de Nävi-