Vízügyi Közlemények, 1934 (16. évfolyam)

4. szám - XI. Szakirodalom

31 En outre, on a comblé l'emprunt se trouvant près du bâtiment des machines, la conduite de refoulement a été rallongée (fig. 5) au moyen d'un tuyau de 1300 mm de diamètre et de 10 mm d'épaisseur en tôle de fer soudée. Le puisard a été renforcé. Vu que le puisard devait être imperméable et indépendant du bâtiment, il n'a pu être question d'employer que le procédé „Torkret." Pendant l'exécution des travaux, le rabattement de la nappe aquifère a été opéré au moyen de 4 puits, le puisard a été attaqué au ciseau, on a posé l'armature, puis on a construit, à côté du mur de la salle aux machines, tout en ménageant un joint entre les deux, un mur de 20 cm d'épaisseur. On a soufflé sur les murs de côté une couche de 8 cm et sur le plafond une couche 12 ou 25 cm d'épaisseur. On a employé du sable graveleux du Danube d'une grosseur de grain de 8 mm au maximum, et du ciment fondu qui, bienque peu coûteux, a donné des résultats très satisfaisants. Le coût total du béton armé employé suivant le procédé „Torkret" fut de 255 P/m 3. IX. LA PLUIE DU MOIS DE MAI. J. KEREKES. Les agriculteurs en Hongrie affectèrent des sommes considérables pour se défendre contre les dégâts des eaux. Les travaux d'endiguement de plusieurs millions d'hectares sont déjà terminés. À l'heure actuelle, il importerait d'uti­liser les eaux. Toutefois, l'établissement des arrosages exige des investissements tellement grands que les agriculteurs ne sont pas capables de les supporter vu le coût de l'établissement, d'une part, et les possibilités défavorables de vente des produits, d'autre part. Pourtant, jusqu à ce que l'on puisse procéder à l'installation de l'irrigation, il serait souhaitable de pouvoir se défendre contre les sécheresses estivales fré­quentes. L'article propose que, là où le ravitaillement en eau est aisé, les prairies et les pâturages soient aménagés de telle manière que l'on puisse effectuer en mai et éventuellement en août quelques arrosages destinés à suppléer au manque de pluies. Cette pluie artificielle de mai améliorerait essentiellement les récoltes et protégerait les terres contre les brûlures du soleil estival. Il serait avantageux d'employer, pour les irrigations, l'eau des puits artésiens à gros débit. Cette irrigation primitive serait à même de familiariser les agriculteurs avec les avantages des arrosages et faciliterait le passage à un arrosage systématique. X. STABILISATION DES RAVINS PAR COMBLEMENTS. B. TAXNER. Si le ravmage se développe sur les territoires particulièrement riches ou menace des bâtiments, on ne peut se contenter des méthodes de stabilisation employées généralement pour entraver leur développement ultérieur ou pour permettre leur lent remplissage. Dans ce cas il peut être question des comblements. Un bel exemple de ce procédé est fourni par les travaux effectués à Somogy­udvarhely par le Service de l'Hydraulique Agricole.

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