O. G. Dely szerk.: Vertebrata Hungarica 1/1-2. (Budapest, 1959)
Dely, O. G. ; Janisch, M.: La répartition des viperes de champs (Vipera ursinii rákosiensis Méhely) dans le Bassin des Carpathes 25-34. o.
KEHELY le dit - BOULENGER ait quand même reconnu en celuici leB vipères provenant de Laxenbourg et Rákos. Il est vrai que BOULENGER n'eit pas considéré son animal comme une nouvelle espèce, mais puisque dans sa déscription, il ait exprimé son désir, que si plutard sa vipère était quand même considérée comme une nouvelle espèce, on doit la dénommer d'après celui qui l'a cueillie, Vipera ursini l, il n'a fait que donner suite à la demande de l'auteur, lorsqu'il se sert du non Vipera ursini l /BONAPARTE/ dans la littérature scientifique. MEHELY, pour plaider sa cause,a écrit la même année une dissertation de plus, dans laquelle, il conteste la façon d'agir de BOULENGER. MÉHELY fait rehausser, que l'animal décrit par BOULENGER fut cueilli par ORSINI dans les Abruzzes, tandis que le forme de MÉHELY devenue entre-temps une espèce particulière / Vipera rákoslenel s MÉHELY/ est décidément une forme de plaine, forme qui reparaîtra certainement même dans d'autres contrées de la grande et de la petite plaine hongroise, ou au moins de la vallée du Danube. A son avis il est incontestable, que l'espèce en question ait émigré d'ici vers les environs de Laxenbourg. Plutard MÍHELY a étudié d'une façon encore plus approfondie la déscription de BONAPARTE et a identifié les exemplaires originaires de Rákos à l'espèce introduite par BOULENGER dans la littérature scientifique, de sorte que dans un de ces ouvrages ultérieurs /1895/ il dénomme la Vipera Rnkosiensl s, découverte pourtant par lui, Vipera ursini l /BONAPARTE/ et à partir de cette époque lui même accepte cette dénomination et ne se sert dans toua ses ouvrages que de ce nom. Le problème systématique et de nomenclature quant à la vipère fut donc résolu, maie les résultats des recherches faunistiques ont justifié de plus en plus la prédiction de MÉHELY /1893/, vu que non seulement entre le Danube et le Tisza, mais même dans la petite plaine hongroise on a trouvé pour ainsi dire chaque année davantage de nouveaux lieux de
