Századok – 1995
Tanulmányok - Kristó Gyula: A honfoglaló magyarok életmódjáról I/3
60 KRISTÓ GYULA 216 Z. 160.; ÁT. 30. 217 Z. 187.; ÁT. 41. 218 Györffy György, a 16. jegyzetben i. m. 196. 219 Fügedi Erik: a 19. jegyzetben i. m. 131-132. 220 Kristó Gyula: A honfoglalás évfordulójára készülve. Magyar Tudomány 1993. 724-725. 221 Fodor István: Pogány magyarság és keresztény magyarság. Honismeret 1993. 6. szám 9. 222 Moravcsik Gyula: a 30. jegyzetben i. m. 17-18. 223 Moravtsik Gyula: a 48. jegyzetben i. m. 334. 224 Moravcsik Gyula: a 30. jegyzetben i. m. 20. 226 Czeglédy Károly: a 137. jegyzetben i. m. 276. 226 Moravcsik Gyula: a 30. jegyzetben i. m. 39. 227 Samuel Szádeczky-Kardoss-Tereza Olajos: Podlinnyj smysl 0asto oéibo0no ob'jasnjaemogo mesta isto0nika, v kotorom govoritsja o drevnih vengrah (Konstantin Bagrjanorodnyj, Ob upravlenii imperiej 30, 21-23). Congressus Internationalis Fenno-Ugristarum. VI. Studia Hungarica. Syktyvkar 1985. 69-76. 228 MEH. 101. 229 Moravcsik Gyula: a 30. jegyzetben i. m. 19. 230 Czeglédy Károly: a 137. jegyzetben i. m. 276. 231 MEH. 101. 232 Czeglédy Károly: a 137. jegyzetben i. m. 276. 233 Hodinka Antal: az 56. jegyzetben i. m. 40-41.; MEH. 126. 234 MEH. 86., 88. Gyula Kristó SUR LE MODE DE VIE DES HONGROIS CONQUÉRANTS (Résumé) L'étude présente, recueillit et explique les sources de la période de la fin du 9e siècle jusqu'au 12e siècle — soit de 3 siècles — qui prouvent le caractère nomade de l'économie et de mode de vie des Hongrois. Le nomadisme c'est une formation qui était caractérisée surtout par le grand élèvage mais embrasse d'un certain niveau la connaissance de l'agriculture subordonnée. Ainsi le nomadisme n'est pas une simple branche de métier mais la forme d'existence de la société autour de laquelle tout est arrangé. Le grand élèvage — dans le cas des Hongrois: l'élève de cheval, exigeait une manière de vie mobile: l'accompagnement de l'animal d'une pâture à l'autre. L'étude s'occupe dans un chapitre séparé de la mention du cheval dans les sources écrites de la période dite quant aux Hongrois. C'était le mode de vie sous la tente qui facilitait le changement des pâtures. L'étude consacre également un chapitre séparé au mention des tentes des Hongrois dans les documents. En ce qui concerne expressément le changement des pâtures et la migration: on peut en lire dans l'étude systématiquement classés. Pour faire la somme de tout cela l'étude énumère les documents qui qualifiaient et décrivaient les Hongrois — entre 880-950 — comme un peuple nomade. La base sociale du nomadisme dans son âge d'or était l'homme libre, la majorité de la société, qui possédait des chevaux et des armes et assistait aux invasions. La formation du nomadisme était reléguée dans l'époque quand elle n'a perdu sa base sociale. A partir de la 2e moitié ou de la fin du 10e siècle: une partie plus en plus grande des gens libres est entrée en rapport de dépendance des biens (à savoir de ceux des chefs de tribut plus tard des biens royaux, ecclésiastiques, séculiers soumis à ces précédents s'articulant à la base des nouvelles valeurs. Enfin les mécanismes des organisations répressives sont entrés en fonction: la partie pauvre des gens libres devait vite changer sa manière de vivre car elle était tellement chargée que la continuer était presque impossible pour elle. Les archives des siècles ll-12ème e s'occupaient surtout de ces éléments du peuple. Le fait que les autres archives reflétant le nouvel système social ne s'occupaient pas du nomadisme s'explique également par cela, car ceux que ne figuraient pas dans les archives effectivement ne nomadisaient pas. Cette population vivait dans les villages ayant des frontières plus en plus solides, dans les
