Századok – 1995

Tanulmányok - Balogh Sándor: Erdély és a második világháború utáni békerendezés (1945–1946) III/535

ERDÉLY ÉS A BÉKERENDEZÉS (1945-1946) 571 193 UMKL. Conference de Paris. Palais du Luxembourg. Doklad komisszii po polityicsenszkimi tyerritorialnüm vaproszam dija Rumünyii. 3. 194 UMKL. Conference de Paris. Palais du Luxembourg. Szekretariat komissziii po polityi­csenszkimi tyerritorialnüm vaproszam dija Rumünyii. 196 UMKL. Paris Peace Conference 1946. Selected Documentes. United States Government. Printing Office, Washington, D. C. (Department of State Publication 2868 Conferenfe Series 103.) 703-729. Romania at the Peace Conference Paris, 1946. 10-54. 196 p rav da ) 1946. október 14. 197 UMKL. XDC-J-l-a. IV/132-60. Sándor Balogh LA TRANSYLVANIE ET LES PRÉPARATIFS DE PADÍ APRÉS LA 2E GUERRE MONDIALE ENTRE 1945-46 (Résurné) L'étude suit les événements et les actions de l'époque de la convention de l'armistice rou­maine faite le 12 sept 1944 - jusque le 5 sept 1946: date de la prise de position mutuelle de la Comité territoriale hongrois-roumaine de la Conférence de paix de Paris qui a déterminé essenti­ellement l'appartenance de la Transylvanie. A l'automne de 1944 - á la suite de l'administration roumaine rentrée dans la Transylvanie du Nord et de la gendarmerie se sont apparues ici des gardes armées nommées „Maniu" qui exécutaient des massacres avec des tortures horribles sur les enfants, femmes, hommes hongrois. Le 12 novembre d'1944 la Comité de Contrőle Alliée fonctionnant en Roumanie a expulsé les i autoritás roumaines de la Transylvanie du Nord oü le commandement de l'armée soviétique a introduit une administration militaire, qui était abolie dans l'époque de l'entrée en fonction du cabinet Groza au 6 mars 1945. Le cabinet Groza s'engageait d'assurer les droits humains et civils de la population hongroise et faisait en fait des mesures prometteurs — surtoút dans la domaine culturelle — dans cette direction. En méme au printemps d'1946 les autoritás roumaines avec des arguments faux refusa­) ient la demande de nationalité de 250 000-300 000 Hongrois ce qui frappait ces gens non seulement dans leur existence mais qui enfermait pour eux le danger de leur expulsion de leur terre natale. En plus: la population hongroise dans la domaine économique, administrative et du service du droit a souffert beaucoup de désavantages. Le gouvernement hongrois — dans son programme de préparer la paix a formulé trés modee­tement sa prétention territoriale envers la Roumanie: ne révendiquait que 22 000 km2 du territoire 104 000 km2 jugé pour la Roumanie en 1920 par le Traité de Trianon bien que la proportion de la population hongroise ait été au moins 30% dans les territoires annexés. Étant que la majorité des Hongrois vivait dans la partié de l'Est de la Transilvanie: le gouvernement hongrois demandait de la conférence de paix l'application du principe de la réciprocité nationale. Le gouvernement soviétique ne protégeit absolument pas cette demande des Hongrois, ce qui explique que le gouvernement roumain a refusé catégoricjuement les négociations bilaterales. Au printemps d'1946 d'abord la Grande-Britannie aprés les États Unis changeaient leur prise de position originale protéger la demande hongroise. En consequence le 7 mai d'1946 le Conseil des Ministres des Affaires Étrangéres a pris parti pour le rétablissmenet de la frontiére hongroise-ro­umaine du 31 déc. 1937. Les perspectives de la paix ne sont pas été améliorées par la visite du gouvernement hongrois en juin d'1946 á Washington, ä Londres et á Paris, méme ensuite le gouvernement roumain déclarait de telles exigences dans la conférence de paix contre la Hongrie au titre des dommages de guerre — que méme les grandes puissances alliées les jugeaient exagérées. La conférence de paix — dans la relation des 2 États a rétabli la frontiére de Trianon de la Roumanie pour combié en fait livrant la nationalité hongroise présque totalement á la nation roumaine dirigeante sóit au pouvoir d'État en fonction.

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