Századok – 1979
Tanulmányok - Zsigmond László: A comte-i pozitivizmus színeváltozása 3/I
A COMTE-1 POZITIVIZMUS SZÍNEVÁLTOZÁSA 41 L. Zsigmond: LA TRANSFIGURATION DU POSITIVISME DE COMTE (Résumé) L’étude comme le renvoie ajouté au titre le marque, est le premier chapitre d’une monographic sous I ’apparation intitulée “ Auguste Comte. Á l’histoire des idées politiques au XIX е siede ”. Elle s’occupe en premier lieu, en observant les étapes de le formation du positivisme de Comte, du Probleme suivant: comment et pourquoi pouvait se produire le changement á la suite duquel la science de la société devenait religion de l’humanité. Ce processus, selon Comte était logique et nécessairc, et le premiere partié de l’étude relate ses argumentations et il propose en exemple, en condition, sa propre formation spirituelle pour ceux qui désirent s’adhérer au positivsme. Cette exigence, comme cela est relatée dans la deuxiéme partié a partagé le cercle d’ailleurs restreint du positivisme. Parmi ses adeptes du début (les plus fameux en étaient Littré en France, J. St. Mill et G. H. Lewes en Angleterre) plusieurs qualifiérent la deuxiéme période de son activité de rupture et d ’égarement, on posait mérne l’hypothése, étant donné les crises réguliéres et périodiques de Comte, d ’un déséquilibre mental. Dans le deuxiéme période, Comte a trouvé de nouveaux adeptes et parmi ceux-ci il faut citer ses biographes, Robinet, Lonchampt et Audiffrent, tous ceux qui furent qualifies par Comte de vrais positivistes parfaits en les distinguant de ses partisans d’autrefois considérés hérétiques et ennemis. La troisiéme partié contient les conclusions de Lévy-Bruhl importantes sur le plan méthodologique qui fournissent une grande aide pour l ’évaluation nuancée de l’ensemble de l’activité de Comte, ainsi qu’une contribution sérieuse d’un psychologue franqais (qui est Dumas) au débat relatif a l’importance des phénoménes pathologiques dans la formation du systéme de pensée de Comte. Grace á la psychologic sociale — compte tenu de ses excés - on peut obtenir un tableau réel des activités de Comte et le débat provoqué entre lui et le président Renan lors du discours de reception de Pasteur qui mérne indirectement va dans ce sens. Aprés avoir traité ces questions dans la troisiéme partié de l’étude la partié la plus volumineuse passe en revue les ouvrages de la littérature positiviste dönt les auteurs, H. Gouhier, J. Delvolvé, P. Arbousse-Bastide, P. Arnaud. P. E. de Berrédo Carneiro, R. Fletcher etc., bien que sur une base lai'que donnent justification ä la conception religieuse qui serait 1’unique alternative réellement efficace contre les idées liberales et démocratiques et surtout socialistes et communistes. Cette conception, par contré, est mise en doute par ceux qui dans la religion traditionelle plus exactement dans l ’Église catholique voient une assurance plus grande pour l ’ordre morele, et par cela pour l ’ordre finale de la société. Nombreux sont qui dans la tendance religieuse du positivisme — comme par exemple Barthélemy- Saint-Hilaire, Daniel-Rops ou Kozari — voient une vengeance de la logique intern du systéme de pensée qui vcut dire que selon leur opinion Comte inévitablement parvenir á une variante nouvelle bien faible de la conception théologique. La cinquiéme partie de l’étude essaie de clarifier sur les traces de Marx et d’Engels le role du positivisme dans Télaboration des fondements théoriques et philosophiques du mouvement ouvrier. Son influence dés le début était contradictoire et le mérite du Manifeste Communiste consiste d ’avoir éclairci pour la premiere fois les différences fondamentales. Cependant, le positivisme d ’abord chez Saint-Simon, puis dans ses deux branches: le saint-simonisme et la variante comtienne contient beaucoup d’éléments progressistes qui s’íntégrent de faqon digne au grands systéms de pensées du XIX е siécle. La sixiéme partié finale est consacrée á l’évaluation du positivisme ou l’auteur prend position pour dire qu ’ il ne s’agit pás d’une rupturem, d’un égarement ou d’un dérangement de cerveau, mais plutöt des conséquences tragiques d’un effort poussé pour une systématisation définitive. Il faut en citer une interpretation de plus en plus péjorative du positivisme non seulement dans l ’usage générale, mais aussi dans les milieux scientifiques. Si le positivisme se présentait au début comme une base philosophique indispensable pour la systématisation universelle et pour la généralisation théorique dans le cadre de la science moderne par la suite il s’identifiait ä la pratique immobilisée des questions de détails et de rempirisme que Comte apelle sur un ton moquer pédantocratie en tirant une ligne de demarcation claire entre les maqons et les architectes de la science. Si tout cela est vrai, il incombe ä lui aussi une grande