Horony Ákos - Orosz Örs - Szalay Zoltán: A hely nevei, a nyelv helyei. A kisebbségi nyelvi jogok története Szlovákiában 1918-2012 - Jelek a térben 4. (Somorja, 2012)

Az új államban

Az új államban 47 fered in many places as the district offices correspond­ed with the Hungarian-majority municipalities in Slovak, the offices generally replied to Hungarian-lan­­guage submissions in Slovak, and birth certificates were only issued in the state language even in purely Hun­garian settlements. The post offices and railway stations in South Slovakia were missing Hungarian information boards, and the train stations’ names were only written in Slovak. However, the oral language use functioned normally. The Hungarian administration did not cause any prob­lems. Bilingual form existed in various fields of life: e.g. bank forms, social security statutes, etc. Other regulations The use of language of county and district representa­tive bodies, committees was regulated by a special gov­ernment decree ( 27/1924). • The regulation made it mandatory for the county head (from 1928 provincial president), as well as chairman of the board meetings and county officials participating in meetings to use the state language. • The minority-language council members could only use their mother tongue if at least 20% of the coun­ty’s population belonged to a minority, or there was a case concerning the judicial district where the 20% threshold criteria were met. In the former case, the representatives could also take an oath in their mother tongue. • Interpretation had to be provided by the county. • Where the proportion of the national minority with­in the district exceeded 80%, written materials did not have to be translated into the official language at the district council, unless a member of the coun­cil claimed it. Following the restructuring of the administration which came into force in 1928, Law no. 229/1928 adapted the language use of representative bodies to the changed conditions. • • County representative bodies were replaced by “provincial” (“Zem”) representative bodies. This regulation decreased the 80% threshold required for the enforcement of more favourable rules for the use minority languages to 75%. slovaques était au moins 20% ou le sceau apparais­sait sur un document dont le texte était rédigé dans la langue officielle du pays. Il faut préciser que l’usage officiel de langue requis dans la mesure d’application du décret linguistique était violé à plusieurs niveaux car les offices de district cor­respondaient en slovaque même avec des villages dont la majorité des habitants étaient des Hongrois, les offices avaient la tendance de répondre en slovaque aux documents rédigés en hongrois et les fiches d’état­­civil étaient issues - malgré le règlement — uniquement dans la langue officielle même dans les villages habités exclusivement par des Hongrois. Aux bureaux de poste et aux gares ferroviaires il man­quait les affiches en hongrois, les noms des gares n’étaient indiqués qu’en slovaque. Cependant l’usage oral de langue fonctionnait généra­lement bien. L’administration hongroise ne posait pas de problème. Il existait des formulaires bilingues dans les différents domaines de la vie civile: par exemple des documents bancaires, des titres de la sécurité sociale, etc. Règlements supplémentaires L’usage de langue des conseils municipaux et des départements ainsi que celui des comités était contrôlé par un décret gouvernemental spécial (27/1924). • Le décret a prévu l’usage obligatoire de la langue officielle au préfet (président de la région depuis 1928) ainsi qu’au président des séances de la collec­tivité publique et aux fonctionnaires participant aux séances. • Les membres du conseil municipal appartenant à une minorité pouvaient utiliser leur langue mater­nelle si au moins 20% de la population du départe­ment appartenaient à ladite minorité ou s’il s’agissait d’un cas affectant un district magistral où l’on dépas­sait la limite de 20%. Dans le cas précédent les membres du conseil municipal avait même le droit de prêter serment dans leur langue maternelle lors de leur nomination. • Le département était obligé de prévoir l’interpréta­tion. • Dans les districts où le pourcentage de la minorité dépassait 80% on prévoyait une exception à la règle de traduire tous les documents écrits du conseil Kassa/Košice, Komárom/Komárno, Perbete/Pribeta, 1918-1938 Kétnyelvű orvosi receptek és gyógyszertári zacskók Dvojjazyčné lekárske predpisy a farmaceutické sáčky Bilingual medical prescriptions and pharmacy bags Ordonnances bilingues et sachets de pharmacie

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