Horony Ákos - Orosz Örs - Szalay Zoltán: A hely nevei, a nyelv helyei. A kisebbségi nyelvi jogok története Szlovákiában 1918-2012 - Jelek a térben 4. (Somorja, 2012)
Az új államban
Az új államban 33 Pozsony/Bratislava, cca. 1930 Háromnyelvű gyári felirat Trojjazyčný nápis na fabrike Trilingual factory signs Inscription d’usine trilingue it mandatory to accept submissions and respond to them in minority languages le des membres de l’équipage militaire qui ne connaissent pas la langue officielle. Le 2ème paragraphe a introduit la limite de 20% - en utilisant une construction assez incommode - concernant les minoritaires nationales et linguistiques, à la base des districts magistraux. Pour les bureaux dont l’autorité s’étendait à tels districts, il était obligatoire d’accepter les documents rédigés dans des langues minorités et de répondre dans la même langue (minoritaire). Dans ces districts magistraux les autorités étaient obligées de publier leurs annonces également dans les langues minoritaires et d’indiquer le nom de l’institution dans une version bilingue. Le 3inu' paragraphe de la loi a réglé l’usage de langue « des autorités municipales, des conseils municipaux et tout organisme public ». En tant que principe fondamental, ce paragraphe a en réalité conféré le pouvoir de choisir la langue de négociation et d’administration aux autorités municipales. Ils étaient toutefois obligés d’accepter sans exceptions les documents et les interventions rédigés dans la langue « tchécoslovaque » et agir dans la même langue. La possibilité de l’usage de langue minoritaire devait être assurée sous réserve du respect de la condition de la limite de 20%. Les citoyens du pays ayant une langue maternelle différente ne trouvaient pas satisfaisant la loi linguistique - adoptée sans la participation des députés minoritaires - garantissant une place privilégiée à la langue « tchécoslovaque », surtout les Allemands car leur nombre dépassait largement celui des Slovaques. L’ampleur des droits garantis aux minorités est restée énormément en deçà du niveau précédemment promis par les fondateurs du pays aux représentants des Alliés en espérance de récompenses territoriales. Par exemple, à la conférence de paix de Paris, à la séance de la In such judicial districts, the authorities were obliged to publish their announcements in minority languages, and on their nameplates indicate the office’s name bilingually as well. Paragraph 3 of the Law regulated the language use of “municipal authorities, representative bodies and all public bodies”. This basic principle gave the powers to local governments for selecting their own language of negotiation and administration. However, statements and speeches in the “Czechoslovak” language always had to be accepted and responded to in this language as well. The possibility of using minority languages had to be ensured under the condition of the 20% threshold. KWHUVnS The country’s citizens with other native language did not consider the language law -providing a privileged position for the “Czechoslovak” language and created without their representatives - satisfactory, especially the Germans, because their numerical proportion highly exceeded that of Slovaks. In the law the statutoiy Pozsony/Bratislava, cca. 1935, cca. 1930 Háromnyelvű gyári felirat Trojjazyčný nápis na fabrike. Trilingual factory signs Inscription d’usine trilingue