Kaszab Zoltán (szerk.): A Magyar Természettudományi Múzeum évkönyve 69. (Budapest 1977)
Gomy, Y.: Histeridae nouveax de la faune orientale et de la Nouvelle-Guinée (Coleoptera)
fois plus long que large ; second article moins large, mais lui aussi environ deux fois plus long que large; massue ovale, de même couleur que le funicule, pubescente. Tête proportionnellement plus petite que chez l'espèce précédente ; ponctuation très fine, à peine visible; front peu convexe, sans séparation distincte d'avec l'épistome qui est large, plan, ponctué comme le front. Strie marginale nette et entière, commençant dans l'angle de la fossette antennaire. — Pronotum large; ponctuation éparse, irrégulière, large mais superficielle, s'atténuant devant et sur les côtés, mais toujours visible; strie marginale interrompue derrière la tête, bisinuée sur les côtés. Angles antérieurs abaissés en 2 pointes superposées très aiguës s'écartant légèrement de la tête. Ligne basale antéscutellaire très visible, nettement arquée au milieu, constituée de points crénelés plus gros en face de la suture élytraie (18 points dans l'arc environ). Cette ligne se poursuit le long de la base jusque dans l'angle. Espace entre la base et cette ligne basale lisse; avec aussi un très fin sillon vertical (sorte de pliure) poursuivant la suture élytrale sur le pronotum et visible que sous certains angles. — Ecusson très petit, triangulaire. Ely très larges, nettement ponctués ; ponctuation semblable à celle du pronotum, irrégulière, éparse, assez large mais superficielle, disparaissant dans la région scutellaire et à l'apex; sans trace de strie dorsale; arrondis à l'apex où ils ne recouvrent pas le propygidium; strie marginale nette et entière disparaissant dans la région apicale. Epipleures lisses. — Propygidium dégagé, non visiblement ponctué. P y g i d i u m superficiellement et éparsément ponctué; ponctuation peu visible, comme celle de la tête. Prosternum (fig. lb) comme chez A. perroti COOM., transverse, environ deux fois plus large que long, aux angles antérieurs affaissés lui donnant un aspect convexe; sans tubercule antérieurement; nettement ponctué (avec des points larges et superficiels mais bien visibles); stries prosternales parallèles ou légèrement convergentes puis nettement divergentes et rejoignant les côtés avant les angles antérieurs. Mésosternum étroit, arrondi antérieurement, un peu affaissé dans la région de la suture mésométasternale, sans bourrelet sur les côtés, avec une strie marginale fine latéralement, interrompue devant (fig. lb). Suture mésométasternale en fin sillon légèrement rétro-angulé. Sans carène longitudinale. Métasternum peu convexe, lisse au milieu ou avec quelques rares points très peu visibles; nettement ponctué sur les côtés (points larges et superficiels). Premier sternite abdominal avec quelques points superficiels assez gros et espacés principalement le long de la base (comme sur les côtés du métasternum). — Strie métasternale latérale longue (fig. 2b), ne marquant pas l'arrondi sous la hanche intermédiaire mais traversant tout le métasternum et rejoignant la suture entre le métasternum et le premier sternite abdominal dans l'angle des hanches postérieures. Strie mésopostcoxale entière, arrondie, avec trois ou quatre points, rejoignant la suture mésépimérale. Strie postcoxale entière, très légèrement bisinuée, suivant de près la hanche intermédiaire et rejoignant la suture mésépimérale. Plaque mésopostcoxale non délimitée, ponctuée (points larges et superficiels). Mésépiméron lisse, bistrié ; strie interne longeant les bords internes du mésépiméron, strie externe dans le prolongement de la strie mésopostcoxale droite, avec deux ou trois points visibles (fig. 2b). — Tibias antérieurs, intermédiaires et postérieurs peu dilatés, avec les épines apicales et de courtes spinules jaunes peu visibles. Tarses longs, avec le dernier article aussi long que les autres réunis. Long: environ 0,7 mm (tête et pygidia exclus.). Espèce dédiée à la mémoire du regretté R-P. ALBIN DE COOMAN qui a passé sa vie à l'étude de la faune du Sud-Est asiatique et tout particulièrement des Histérides. C'est lui qui le premier a découvert ce genre (s-g d'Acritus LEC).