Szekessy Vilmos (szerk.): A Magyar Természettudományi Múzeum évkönyve 58. (Budapest 1966)

Nyírő, M. R.: Foraminiferes du gres burdigalien des gisements du mur du charbon de Salgótarján (Eperjestelep)

1957. Cibicides boueanus (D'ORBIGNY), TOLLMANN: Sitzungsberichte, Ab. I. Vol. 16G. Cah. 3—4, p. 196. 1958. Cibicides boueanus (D'ORBIGNY), CICHA & ZAPLETALOVÁ: Sbornik Vol. 25. p. 15. Pl. II. Fig. 4, 5, 6. 1958. Hanzawaia boueana (D'OBBIGNY), INDANS: Fortschr. Geol. Rheinld. v. Westf. Vol. 6, p. 72. PI. 12. Fig. 8. La forme du test est plate, plano-concave, paroi finement perforée. Carène périférique mince. Sur le côté spiral on peut voir 6—9 loges. Les sutures sont fines et sur les jeunes loges peu approfondies. Sur le côté spiral les sutures se fondent en forme de bouton. Nous avons trouvé 6 individus dans le grès. L'espèce est répandue dans les gisements miocènes de l'Europe. Almaena SAMOILOVA 1940 Almaena osnabrugensis (ROEMER) Pl. I. Fig. 12. 1838. Planulina osnabrugensis ROEMER, ROEMER: N. Jb. Miner, etc. p. 390. Pl. 3. Fig. 58. 1855. Rosalina osnabrugensis (ROEMER), REUSS: Sitz. ber. K. A. Wiss. Wien, Vol. 18, p. 143. Pl. 5. Fig. 58. 1958. Almaena osnabrugensis (ROEMER), BATJES: Inst. Royal d. Sc. Nat. de Belgique. Mem. N° 1, 3, p. 154. Pl. IX. Fig. 1. La forme du test est un peu ovale, paroi finement perforée. Les autures sont vastes en forme de la lettre majuscule S. Carène périférique assez vaste sur laquelle sont placées les ouvertures. Sur le côté ombilical les loges sont peu gonflées. Sur ce côté, ainsi que sur le côté spiral, on peut observer une ornementation perlée et des stries qui donnent une surface inégale. Sur les deux individus trouvés on peut remarquer 9 loges. Almaena osnabrugensis est une espèce répandue dans les couches oligocènes et mio­cènes de l'Europe. Elphidium MONTFORT 1808 Elphidium flexuosum (D'ORBIGNY) Pl. I. Fig. 14. 1846. Polystontella flexuosa D'ORBIGNY, D'ORBIGNY: Vienne, p. 127. Pl. 6. Fig. 15—16. 1939. Elphidium flexuosum (D'ORBIGNY), CUSHMAN: Prof. Pap 191, p. 43. Pl. 11. Fig. 13. 1957. Elphidium flexuosum (D'ORBIGNY), TOLLMANN: Sitzungsberichte Ab. I. Vol. 16. Cah. 3—4, p. 187. PI. 2. Fig. 4. L'exemplaire unique, incomplet, dont la forme est un peu plus aplatie comme celle du holotype, provient du grès d'Eperjestelep. Les loges sont étroites et les stries caractéristiques ne sont pas bien visibles. Les sutures sont vastes et s'enfon­cent dans l'ombilic. A l'avis de TOLLMANN (1957) l'espèce caractérise les couches burdigaliennes d'Eggen­burg. Elphidium hiltermanni HAGN Pl. L Fig. 13. 1952. Elphidium hiltermanni HAGN, HAGN : Geol. Bav. 10, p. 163. Pl. l.Fig. 6. Pl. 2. Fig. 14. 1958. Elphidium hiltermanni HAGN, BATJES: Inst. Royal d. Sc. Nat. de Belgique, Mem. N° 143, p. 165. Pl. XII. Fig. 4. 1962. Elphidium hiltermanni HAGN, INDANS: Fortschr. Geol. Rheinld. v. Westf. Vol. 6, p. 57. Pl. 8. Fig. 8. Forme ronde, taille mince. Loges peu gonflées, paroi finement perforée. On peut compter en tout 7 loges. Les sutures sont profondes et sur la loge dernière un peu perlées. Trois individus proviennent du grès d'Eperjestelep. HAGN (1952) a décrit cette espèce du Rupélien, mais sa présence est déjà prouvée aussi dans les couches oligocènes supérieures et miocènes inférieures.

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