Boros István (szerk.): A Magyar Természettudományi Múzeum évkönyve 5. (Budapest 1954)

Topál, Gy.: A Kárpát-medence denevéreinek elterjedési adatai

concernant les chiroptères (14), ni du Catalogue Faunistique rappelé — les ouvrages les plus récents, en faisant mention du bassin des Carpathes remarquent, que ce territoire est à peine exploré en ce qui concerne les chiroptères. Naturellement, ils se posent encore bien des pro­blèmes dans l'état actuel de la question, et nous sommes loin de pouvoir affirmer que nous con­naissons la répartition de chaque espèce de chiroptères de ce territoire. Mais nous possédons déjà bien des données à contribuer aux notions imparfaites de cette question. L'auteur a employé — comme directive — le catalogue d'E Hermann (5), mais, différemment de celui-là dans la question du Myotis oxygnathus, que l'auteur traite en espèce indépendante. Il y note encore, que dans l'avenir il serait bien nécessaire de grouper les données, obtenues sur les abris, selon l'ordre des dates de récoltes, ainsi s'offrirait une base pour une évaluation juste et bien fondée pour les certaines données de répartition. La faune chiroptérologique du bassin des Carpathes compte 25 espèces^dont l'auteur en a recueilli 16 espèces. En guise de résumé il énumère ses données nouvelles et les données du matériel considérable du Musée d'Histoire Naturelle. Notamment, il a obtenu plusieurs exemplaires de Rhinolophus ferrumequinum de Telkibánya, qui compte pour cette espèce comme le point le plus septentrional dans le bassin des Carpathes. Une donnée du nord extrême pour le Rhinolophus euryale se rattache à l'Aggteleki-barlang (Grotte del'Aggtelek) —cet exem­plaire se trouve déposé dans la collection du Musée. Il a également capturé plusieurs Myotis nattereri — considéré cependant assez rare — en de lieux différents du pays. Le Myotis bech­steini, étant également déposé dans la collection du Musée, provenant de Tihany, dont on signale comme la seconde en ordre de suite parmi les lieux de récolte les plus méridionaux du bassin des Carpathes. Le grenier de l'église de Pilismarót a été bondé de Myotis myotis ; l'auteur y a découvert toute une colonie estivale, comptant à peu près 2.000 individus. Il en a bagué 1000, et c'est alors qu'il apparut qu'ils se trouvaient entre eux aussi des Myotis oxyg­nathus, et même en 7%. Il est à noter, que dans la grotte de Szoplak, nommée Ördöglyuk (Trou du diable), qui se trouve tout près de Pilismarót, on rencontre très peu de Myotis oxygnathus hibernants. D'ailleurs, selon les observations de l'auteur, les Myotis oxygnathus sont encore plus fréquents que les Myotis myotis. Il en a bagué plus que 7.000 dans la grotte Ördöglyuk de Szoplak. Par la reprise de ces bêtes baguées leurs données de gîte ont largement augmenté, surtout dans la région de Г Alföld (Plaine Hongroise). Le Myotis dasycneme — espèce très rare — a été signalé de Szikra, de la grotte Ördöglyuk de Szoplak et de la grotte de Aba­liget. Szikra est le gîte estival le plus septentrional de cette espèce, alors que l'abri le plus méridional de l'espèce Nyctalus leisleri se trouve à Tihany. L'auteur a aussi bagué plusieurs centaines de Miniopterus schreibersi dans la grotte de Szoplak. Dans le texte hongrois, les lieux de récolte des certaines espèces ont été groupés sur une carte géographique adjointe, déterminés par les reliefs du terrain selon les régions. Les chiffres figurant après les données des lieux de récolte, indiquent la bibliographie employé, ensuite, la lettre qui suit, indique la collection du Musée. L'auteur communique ses données à lui même dans le dernier alinéa de chaque description d'espèce. On retrouve sur la carte les certains gîtes à 1 aide de la note alphabétique. Les chiffres du résau cartographique sont également présentés.

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