Varga Edith szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 78. (Budapest, 1993)

SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Quelques remarques a propos de l'histoire de l'atelier « senza graffito » de Tarquinia

plus des bandes ornant la paroi ex­térieure du vase de Budapest, l'ar­tiste a peint sur l'intérieur du pied une autre bande horizontale con­damnée à rester invisible. Sur le vase carthaginois aussi l'incision est remplacée par un rehaut rouge. Les vases à décor figuré de l'atelier « senza graffito » ne sont pas très variés quant à leur forme. En grande majorité ce sont des œnochoés, des olpès, des phiales à omphalos, des plats du type men­tionné plus haut, de grands vas­ques profonds sans pied (« bacili »), des coupes ou des pyxides de di­mensions réduites. Les trois pre­mières formes, à l'exception de l'œnochoé de Berlin mentionné plus haut et unique en son genre, suivent des modèles corinthiens, les deux types de plat sont d'ori­gine locale, enfin la coupe et le pyxide sont des variantes en fin de compte locales de formes grecques et égyptiennes respectivement. 11 La série des formes standardisées 6. Phiale étrusco-corinthienne. Dans le commerce d'art (Londres, Ch. Ede Ltd.) 7. Plat étrusco-corinthien. Tarquinia, Musée National RC 1261. 11 Sur le plat « con presine laterali » Szilágyi, J.G., La ceramica etrusco-corinzia figurata I, Firenze 1992, p. 192 et n. 71 ; sur [e « bacile » : Szilágyi, 1972, p. 47 et A. Coen, Complessi tombali di Cerveteri con urne cinararie tardo-orientalizzanti, Firenze 1991, p. 73 ; sur la pyxide : Stibbe, CM., in Festoen. Opgedragen aan A.N. Zadoks-Josephus Jitta, Groningen 1976, pp. 539-552, ainsi que Hölbl, G., Beziehungen der ägyptischen Kultur zu Altitalien I, Leiden 1959, pp. 64-71 et ÖJh 54 (1983) Hauptbl. pp. 11-12 ; la question reste ouverte.

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