Varga Edith szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 76. (Budapest, 1992)
NAGY, ÁRPÁD MIKLÓS: E?O?AI E?T?XI
15 Clochette quadrangulaire en bronze, diam. : 3 cm; Trypa (Chalcis); 5 lignes séparées par un décor ornemental, dans la ligne inférieure : EYTTXEI NIKA. 44 16 La même, avec lettres appliquées, h. (avec Panneau de suspension) : 8 cm, diam. : 5 cm; Odéssos, nécropole, dite de la fin du II e s.; Varna, Mus., n° d'inv. : II. 1231 : ETTTXI EYITAOI. 45 17 « Une clochette de bronze de la Collection Froehner (Asie Mineure 1913) porte une inscription byzantine, Kvgie, ßo^ei Xxqaxovíxov xè rőv aXóyov (sic!) avTov » 46 . 18 « tintinnabulum orig. inc. (Köln ap. Niessen) litteris incisis » : KABIRIO. 47 19 Clochette hémisphérique en bronze; frier, Mus. : ALBANI EYTYXI. 48 20 Clochette en or de forme octogonale; Paris, Louvre? : TATAENTI. 49 21 Clochette hémisphérique en bronze; Budapest, Musée des Beaux-Arts : L TO LIAI ETTTXI. L. Robert mentionne encore des clochettes à inscription « Iç ânakTjoç », ainsi que d'autres pièces. 50 La liste ne contient pas les clochettes votives de l'époque classique, ni les sonnettes romaines estampillées 51 , ni les pièces du Museo Kircheriano et de Vercelli que P. L. Bruzza estimait être fausses. 52 En revanche, c'est dans la même catégorie que rentrent les exemplaires connus de la littérature antique traitant de la magie et qui étaient utilisées aux fins de « defixio » à l'hippodrome, pour la quête de trésors etc. 53 Jusqu'à ce jour il n'y a que P. L. Bruzza qui ait tenté de catégoriser les clochettes à inscription. Il a supposé que les premières pièces furent fabriquées en Alexandrie et leur emploi ne s'est répandu en Italie qu'au cours des III e-IV e siècles. 54 Aujour31 Papavasileiou, G. A., Praktika 1911, pp. 236—237 (cité par Espérandieu, E., DA V, Paris s. d., s. v. tintinnabulum, p. 344, n. 6). Sur l'inscription : Bonn, O., CIL XIII 3.2 (1906), 10017.37. Une autre clochette ornementée : Pottier, E.-Reinach, S., La nécropole de Mvn'na, Paris 1887, p. 245. 45 Mirtchev, M., BSAVarna 9 (1953) pp. 116-117; Robert, L., BullEpigr in REG 67 (1954) p. 151. n° 182 (la pièce ne provient pas de Galate; citée par Chavane, op. cit. - n. I 3 -, p. 147, n. 6). 46 Robert, L., Collection Froehner, Paris 1936, p. 61. 47 CIL XIII 3.2, 10027.255. 48 Hettner, F., Illustrierter Führer, Trier 1903, p. 91, n" 1237; CIL XIII 3.2, 10027.239; Siebourg, loc. cit. (n. 21), pp. 14-15. 39 CIL XV 2.1, 7069 (« Cal. des bijoux du Mus. Napoléon III, n. 237 »). Non vidi. 50 Robert, L., Opera minora selecta V, Amsterdam 1989, p. 799. n. 38 ( = CRAI 1982, p. 236); id., op. cit. (n. 46), V. 51 Du Kabeirion de Thèbes : Burns, G., Das Kabirenheiligtum bei Theben I, Berlin 1940, pp. 41-42, n° 49 (cf. p. 93). Du sanctuaire Athena Chalkioikos de Sparte : Hondius, J. J. E.Woodward, A. M., BSA 24 (1919-1921) pp. 117-119; Woodward, A. M., BSA 26 (1923-1925) pp. 273-274. L'ouvrage de L. Morillot (Etudes sur Vemploi des clochettes . . ., Dijon 1888) ne m'a pas été accessible; sur le livre v. le compte rendu d'A.S. Pease (n. 34). Une clochette estampillée provenant d'Aquincum : Burger, Sz. A., BudRèg 16 (1955) pp. 295-299. V. encore Blázquez, J. M., Zephyros 37-38 (1984-1985) pp. 331-333. 52 Cf. AdI 47 (1875) pp. 51-52; IG XIV 2409.4; Cook, loc. cit. (n. 32), p. 19. Sur la sonnette de Vercelli v. aussi Mommsen, Th., CIL V 2 (1877), 1087*, toutefois cf. Hübner, Aem., EphEp 8 (1899) p. 518. 53 Delatte, A., Anecdota Atheniensia I, Liège - Paris 1927, pp. 25, 418 et 85. Cf. aussi Preisendanz, K.., Papyri Magicae Graecae I, Leipzig 1928, IV 3255-3260. A. Delatte signale que les clochettes pouvaient également servir à invoquer des démons : loc. cit. (n. 38), pp. 271-276. 64 Bdl 1877, p. 85.