Varga Edith szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 70-71. (Budapest, 1989)

Le Musée des Beaux-Arts en 1985

UU. Enrique Angulo Castro : Ballade sur mes aievix, 1983. Budapest, Musée des Beaux-Arts présents à l'exposition avec leurs œuvres graphiques exécutées après 1945. Une salle à part fut réservée aux maîtres qui transplantèrent les idées surréalistes dans leurs œuvres (Tapies, Marcel -Jean, Corneille, Doucet, Appel, Manessier). Le pop art américain des années 60 (Andy Warhol, Lichtenstein, Indiana, ü'Arcangelo, Wesley, Youngermann, César), ainsi que de nombreuses tendances de l'art contemporain ont permis que l'on souligne — tout en présentant la production des deux dernières décennies et en signalant les tendances — la pénétration des nouveaux média de l'art graphique : les procédés traditionnels sont rarement appropriés pour la présentation graphique de la peinture monochrome (Yves Klein), du land art (Christo), de l'art conceptuel (Kosuth, Sol LeWitt, Judd) et du dit anti-art. Néanmoins, les artistes néoavangardistes est-européens (Kabakov, Yankilevski, Filko, Sikora, etc), ainsi que les grandes personnalités de la tendance postmoderne déjà considérées comme classiques (Tattafiore, Paledino) appliquent de bon gré la technique graphique traditionnelle. Le Musée des Beaux-Arts a fait de sérieux efforts pour acheter des collectionneurs privés une partie des œuvres graphiques exposées. 44 de ces œuvres passèrent ainsi dans la collection du Musée, dont les plus célèbres sont : La lecture, de Fernand Léger ; Mère et son enfant, une litographie d* Amédée Ozenfant ; la série d'impression en relief comprenant six pièces, de Roberto Matta ; les lithographies d'Antonio Tapies