Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 53. (Budapest, 1979)

SZILÁGYI, JEAN GEORGES: ??ATYP

ou devaient posséder quelque fonction pratique bien connue pour les maîtres des ateliers. Mais dans le cas des signatures en nom de personne, il est possible de prendre en considération les autres interprétations mentionnées ci-dessus; elles attestent l'existence d'une personnalité de façon beaucoup plus concrète et accentuée que les signatures en lettres qui marquaient également des noms, connus au moins dans l'atelier où l'objet fut utilisé. Mais il se pose spontané­ment la question: qui fut le signataire? C'est le modeleur de la maquette qui fut l'artiste créateur. Il pouvait être identique, mais pas forcément, à la per­sonne fabriquant la matrice surmoulée de la maquette. 113 Si non, dans ce cas-là •"8 V. en premier lieu Nicholls: op. cit. (ci-dessus, note 9). Par rapport aux rhyta cf. Schmidt, M.: op. cit. (ci-dessus, note 3), p. 396—397, contre l'opinion de Hoffmann qui suppose une nette différence entre le coroplathe et le potier, le mode­leur de la maquette et celui du rhyton. La situation des signatures inscrites sur les statuettes exécutées est dans ce cas également tout à fait différente: étant donné que la figurine signée elle-même pouvait se servir de modèle d'une autre matrice, la même signature peut apparaître sur des statuettes tirées de matrices différentes (cf. J a s t r o w, E. : Opusc. Arch. 2, 1941. p. 23). 20. Moulage moderne du moule de la figure 19.

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