Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 52. (Budapest, 1979)
HARASZTI-TAKÁCS, MARIANNE: La tete d'Ulysse par Tischbein et l'idée allemande de l'Antiquité au tournant des XVIII—XIXe siecle
48. Gravure de Raphael Morghen d'après Johann Heinrich Wilhelm Tischbein: Ulysse classicistes. Ses mérites ne sont pas moindres dans l'aide prêtée à Winckelmann pour s'adapter à Rome. 11 C'est le même rôle que jouera en 1786 Tischbein auprès de Goethe en offrant au jeune poète un foyer dans son appartement au Corso. 12 Comme la curiosité de Goethe pour l'Italie était nourrie dès son enfance, par les gravures que possédait son père, 13 Tischbein aussi découvrit les jouissances littéraires déjà à Hannover, en 1774, dans la maison du commerçant J. F. Winckelmann, grand amateur des arts. C'est là qu'il fit connaissance de Ho11 Winckelmann arriva à Rome en novembre 1755. Dans une lettre écrite en janvier 1756 à son protecteur, le comte Bünau, dont il s'occupait de la bibliothèque à Nöthnitz, on lit: „...mein gutes Glück hat gewollt, dass ich mit den Chev. Mengs, ersten Hof-Maler Sr. Majest. in Polen, eine Bekanntschaft bekommen, und an demselben meinen bessten Freund in Rom gefunden, welcher mir unendlich viel Höflichkeit erzeigt." Une autre fois, parlant de la lettre de recommandation adressée à Mengs, il écrit que la maison du peintre „ist meine Zuflucht". Cf. Winckelmanns Briefe an seine Freunde Dresden, 1777. I. 26 et 57. 12 „Für mich ist es ein Glück dass Tischbein ein schönes Quartier hat, wo er mit noch einigen Mahlern lebt. Ich wohne bey ihm und bin in ihre eigene Haushaltung mit eingetreten." Goethes Briefe aus Italien an Frau von Stein, Herzog Karl August und Freunde in der Heimat. Herausgegeben von J. Vogel. Berlin, 1951. Rom. d. 1. Nov. 1786. An der Freundes Kreis in Weimar, 24. Il écrit la mérne chose le 7 novembre à Frau von Stein. Ibid. 32.