Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 44. (Budapest, 1975)

POGÁNY-BALÁS, EDITH: Quelques remarques sur l'histoire des motifs a propos de gravures de Raimondi et d'Episcopius: «Léda de Cesi» et les Léda de Léonard

26. Raphaël: Dessin d'après la Léda de 27. Baccio Bandinelli: Léda Léonard. et le cygne. Bronze, d'après Léonard. Florence, Museo Nazionale . Treviso (fig. 29) qui enlace, du même geste, un torse masculin en marbre. Wilde 8 la fait remonter aux fresques de Giorgione, détruites, au Fondaco dei Tedeschi à Venise. Le point de départ de ces représentations est la pose créée par Léonard, dont les disciples du maître feront plus tard des copies. Baccio Bandinelli reprendra en statue de bronze le même thème de Léda avec le cygne (fig. 27); la gravure de Raimondi, 8 W i 1 d e, J. : Wiedergefundene Gemälde aus der Sammlung des Erzherzogs Leopold Wilhelm. Jahrbuch der Kunsthistorischen Sammlungen in Wien. 1930. p. 253. Il se réfère aux rapports entre le tableau viennois de Girolamo da Treviso, la gravure B. 311 de Rai­mondi et les fresques de Giorgione qui avaient été à Venise au Fondaco dei Tedeschi:. La niche en demi-cercle existe en effet sur la gravure B. 311 Marcantonio, mais la figure de Giorgione, que nous connaissons des gravures de Zaneti faites d'après les fresques détruites depuis, ne montre plus le geste caractéristique des bras. Wilde note encore que dans sa Galatée de 1514 Raphaël a développé ce motif en une véritable «figura serpentinata, (op. cit. p. 252). Clark, démontre que la Galatée de Raphaël remonte au Neptune de Léonard. Clark, K: Léonard de Vinci. Paris, 1967. p. 250. (La Léda de Léonard sert de fond à tous ces motifs. Raphaël en a fait, lui aussi, une copie dessinée encore à Florence.) Dans son livre posthume, paru en 1974, Wilde apporte des modifica­tions à cet avis, et lui aussi renvoie à des gastes à la Léonard. Wilde, J. : Venetian Art fron Bellini to titian. Oxford, 1974. 123.

Next

/
Thumbnails
Contents