Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 41. (Budapest, 1973)

HARASZTI-TAKÁCS, MARIANNE: Quelques problemes des bodegones de Velasquez

17. Velázquez : Le Déjeuner. Leningrad, Ermitage pauvrement mise, en mangeant, en buvant, donc le peuple de Seville dans ses occu­pations de tous les jours, caractéristiques mais pas d'une importance de premier ordre. Alors qu'au sujet des portraits, des compositions plus grandes, des tableaux religieux ou mythologiques, entrés dans les collections royales, les comptes, les un voyage en Espagne au temps de Charles 11 et de la reine-mère Marianne d'Autriche. En parlant des auberges elle écrit que le foyer ouvert est placé au milieu de la cuisine et qu'il n'y a pas de cheminée. «Je ne crois pas — continue-telle — qu'on puisse mieux représenter l'enfer qu'en représentant ces sortes de cuisines et les gens que l'on trouve dedans; ils sont une douzaine d'hommes et autant de femmes; plus noirs que des diables, puants et sales comme des cochons et vêtus comme des gueux.» La description de la com­tesse est sans doute un peu exagérée, mais l'histoire de l'auberge de Burgos avec les lits est conforme aux «Nouvelles exemplaires» de Cervantes. Ibid. p. 1 17).

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