Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 41. (Budapest, 1973)
SZABÓ, NICOLAS: Contribution a la question de la coroplathie béotienne du VIIe siecle av. n. e
12. Maître béotien: Cavalier. Terre cuite. Olympie, Musée Type identique au précèdent; le visage est sorti du même moule. 5. Wurzbourg, Universitätssammlung. Haut.: 22 cm. Cf. Winter, F.: op. cit., 32/3c. Les représentants du groupe qui me sont connus, sont sans exception des trouvailles isolées dont la provenance est soit inconnue, soit l'authenticité de la donnée traditionnelle est incontrôlable. Ainsi c'est avant tout la comparaison avec les exemplaires attiques, provenant des ensembles de trouvailles, et les modèles cycladiques qui sert de point de repère à la datation. D'après cela on date le type béotien de la «pleureuse» de la fin du VII e siècle, ce qui grosso modo correspond à la période où furent exécutées les pièces d'une technique analogue de P«atelier des centaures».8 L'autre point de départ est donné par les conclusions d'ordre stylistique et chronologique. Les profils d'homme barbus caractéristiques de l'«atelier des centaures» peuvent être aisément comparés avec les spécimens de bonne qualité des «cavaliers à vernis» béotiens. Nous nous permettons d'attribuer une importance à cette similitude, car le modelé du visage en forme de «bec d'oiseau» ou de «gueule de souris» des cavaliers béotiens bien datés du VI e siècle av. n. è., à stries de vernis ou à peinture matte, diffère décidément du type de profil ci-haut mentionné. Les «cavaliers à vernis» sont entièrement recouverts d'un «vernis» brun-noir appliqué avant la cuisson. On retrouve l'antécédent de ce procédé dans le répertoire de l'«atelier des centaures»: le centaure de Budapest fut enduit avant la cuisson d'une •>8 Parmi les ouvrages cités sur la liste voir en premier lieu R o I I e y. Cl.: op. cit., pp. 116 et suiv.; cf. la note 27.