Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 40. (Budapest, 1973)

SZILÁGYI, JEAN-GEORGES: Un miroir de brcnze étrusque

9. Miroir tie bronze étrusque (dessin). Budapest, Musée des Beaux-Arts ont une importance au point de vue de la représentation du miroir de Budapest. Les premières représentations datent du dernier tiers du VII

e siècle,

18 et dans le premier quart du VI

e siècle on voit déjà se former la scène du symplegma où Herakles et le lion luttent l'un en face de l'autre; mais d'abord le héros apparaît agenouillé (dans le schéma du «Knielauf») dans la scène du symplegma seulement en les occasions où il serre de derrière le cou du lion. Dans tout l'art archaïque et classique c'est la scène de la lutte debout cpti était la plus répandue tant dans la plastique en ronde bosse qu'en relief, dans la peinture et dans nombreuses branches des arts mineurs. Ce schéma et ses variantes sont apparus en Etrurie déjà à l'époque archaïque.

19 Herakles combattant agenouillé est, à l'époque archaïque, représenté presque exclusivement dans la peinture et sur les reliefs, et pour la plupart dans des scènes où tous deux adversaires sont à ras de sol et la composition est en forme de rectangle 1 e r, A. in: Roschers Myth. Lex., I, pp. 2195-8, 2223-4, 2243; B e n d in ell i, G., Ausonia 10 (1921) pp. 131 et suiv.; K u n /. e: op. cit. (ci-dessus note 1 1), pp. 95— 102; B r o m m e r, F.: Herakles. Münster-Köln, 1953, pp. 7—11. Les types fies representations étrusques: Bay et: op. cil

. (ci-dessus note 15), pp. 103 — 9. 18 Pour ce qui suit K u n z e: op. cit. (ci-dessus note 1 1), pp. 96 —98; pour les représentations les plus anciennes F it t s e h e n, K.: Untersuchungen zum Beginn tier Sagendarstellungen bei den Griechen. Berlin, 1969, pp. 76 — 88. 19 Par ex. sur le trépied de Vulci de l'Ermitage de Leningrad (Jdl 58, 1943, p. 213, fig. 5), sur deux trépieds de Loeb (récemment T h i e m e, W.-G. : Die Dreifiisse der Sammlung Loeb. Diss. München, 1967, pp. 17— 18, 34, dans l'introduction avec la bibliographie antérieure), ou sur les reliefs d'un simpuhtm en bronze de Gênes (B 1 a n c k, H., Arch. Anz. 1968, p. 551 et fig. 10). Cf. Brown, W. L. : The Etruscan Lion. Oxford, 1960, p. 140.