Radocsay Dénes - Gerevich Lászlóné szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 34-35. (Budapest, 1970)
URBACH, SUZANNE: La «Vierge de Douleur» de Hans Baldung Grien au Musée des Beaux-Arts
42. Hans Baldung Grien : La Déploration (détail). Berlin, Staatliehe Museen, Gemäldegalerie 1423 par le concile de Cologne 21 au cours des luttes contre l'hétérodoxie hussite. Dès le XIII e siècle, ce sont les cinque plaies de la Vierge — sa douleur allégorique — qui furent vénérées et représentées sur le modèle des cinq plaies du Christ, mais déjà au XIV e siècle ses sept douleurs furent ici et là mentionnées. Le culte et la représentation des Sept Douleurs s'est constitué aux Pays-Bas. C'est Johann van Coudenbergh qui, en 1492, a fondé la première confraternité en l'honneur des Sept Douleurs de la Vierge, et c'est lui qui a commandé le premier autel consacré aux Sept Douleurs pour l'église Saint Sauveur de Bruges. 22 Le culte -' Bei s sel, S.: Geschichte der Verehrung Mariae in Deutschland während des Mittelalters. Freiburg in Br., 1909, pp. 405 et suiv.; Gerd t s, G. H.: The Sword of Sorrows. The Art Quarterly, 1954, pp. 233 et suiv.; Mâle, E. : L'art religieux de la fin du moyen âge en France. Paris, 1925, p. 122; W e i n b e r g e r, M.: The Man of Sorrows. Gazette des Beaux-Arts, 1946, p. 359. -- Lexikon der Marienkunde. Herausgegeben von K. Algermissen, etc. Regensburg, Tome 1, colonnes 1207 - 8 sur Coudenbergh. B e i s s e 1, S. : op. cit., pp. 405 et suiv. Beters, H.: Die Sieben Schmerzen Mariens. Zu Fragmenten einer Altartafel auf Rittergut Birkhof bei Neuss. Neusser Jahrbuch für Kunst, Kulturgeschichte u. Heimat künde. 1957.