Palla Ákos szerk.: Az Országos Orvostörténeti Könyvtár közleményei 27. (Budapest, 1963)
Dr. Katona Ibolya: La lutte des médecins contre le surmenage dans l'école secondaire au tournant de siecle
maisons de santé rapportait que les psychoses juvéniles n'étaient certainement pas l'effet de l'école. Tous ces effort pour modérer le surmenage dans les écoles secondaires n'aboutissaient donc, en réalité, à aucun résultat. Pourtant, le fait reste que les médecins intéressés aux questions de la politique culturelle, et se sentant responsables de la santé des enfants, s'étaient prononcés publiquement à ce sujet. Incontestablement le plus grand nombre des névrasthénies juvéniles se trouvait parmi les écoliers du grade secondaire. En somme, tous ces efforts, expériences, constatations et investigations réussirent finalement à attirer l'attention publique sur la question de la protection de la santé des enfants. La névrose et la psychose juvéniles furent exposées. Qu'il existe un rapport causal entre les deux ou non — l'opinion publique réclamait des actions catégoriques. Certains de nos médecins enthousiastes s'occupaient plus ou moins aussi avec la question du surmenage dans les écoles primaires. A cette époque la prévention scolaire n'était qu'un desideratum, le décret ministériel prévoyait seulement la prévention dans les écoles secondaires. Ce problème fut discuté partout et toujours comme une des questions principales à résoudre. Pédagogues et médecins luttaient ensemble contre ls surménage sur plusieurs terrains; il avait été entendu que tout ce qui tend à surmener l'écolier devrait être éliminé du programme d'enseignement. Hélas, tous ces résolutions, tous ces propositions excellentes visant à la réforme de la politique culturelle, à l'amélioration de l'état de santé des écoliers, — tout cela demeurait illusoire dans l'époche du capitalisme féodal.