dr. D. Fehér Zsuzsa - N. Újvári Magda szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Közleményei 4. szám (Budapest, 1963)
NOTES 1 Le document se trouve en possession du docteur Bella Plank, arrièrepetite-fille de l'acteur György Telepy. 2 Tradition toujours vivante dans la famille du peintre. 3 Vasárnapi Újság (Journal du Dimanche), année 1887, n° 39, p. 649; portrait sur la page 648. 4 Bayer, József: A magyar játékszín története (Histoire de l'art dramatique en Hongrie), p. 581. 6 Budapesti Közlöny (Journal Officiel de Budapest) du 2 août 1868. 0 Propriété du docteur Bella Plank, arrière-petite-lille de l'acteur. ' Huile, toile, 46,3 cm x 59,5. In . 3846. Signé à droite, en lettre gravées: fest. Telepy György 1852. (peint par György Telepy en 1852). 8 Lyka, Károly: Magyar Művészet (Art Hongrois) 1800—1850. 9 Művészet (Art), aimée 1903, p. 347. 10 Aquarelle à l'exposition du Théâtre National organisée par Höllrigl. 11 Le contrat est en possession du docteur Bella Plank, arrière-petitc-fille de l'acteur. 12 Honművész (Artiste Hongrois), année 1832, t. 2, pp. 234 et 331. 13 A l'occasion de sa dernière apparition sur la scène, ses camarades lui ont offert en souvenir une coupe d'argent portant une inscription. Cette coupe est en possession du docteur Bella Plank, arrière-petite-fille de l'acteur. 14 La lettre a été écrite le 9 septembre 1892 à Nagybánya par Zsigmond Papp de Törökfalva, juge du tribunal d'arrondissement en retraite qui y dit notamment: Mon cher Károly, il est devenu un artiste remarquable le petit garçon aux cheveux bouclés chez le père de qui j'avais été mis en pension par mon père pour être initié aux éléments du dessin et de la peinture aussi à l'époque de mes études universitaires. Je me rappelle toujours bien l'appartmcnt de la rue des Cinq alouettes. Il avait une grande chambre et une plus petite dans laquelle votre père avait l'habitude de peindre, donnant toutes les deux sur la rue. Nous deux autres, moi le jeune pensionnaire et vous le petit garçon aux cheveux blonds, nous étions installés dans une troisème pièce regardant sur la cour. Quand votre père peignait, je me mettais to jours derrière lui. Mes premières impressions et mes premiers goûts de la peinture et du théâtre, je les dois à vos parents comme je dois a votre vie de famille bien ordonnée que je ne courais pas alors les rues et les cafés. Ce sont ces souvenirs, Cher Károly qui m'avaient poussé à aller vous embrasser lors de notre brève rencontre à la gare de Nagybánya.* 15 En possession de Madame Kovacsics, petite-fille de Károly Telepy. 16 lb. id. l **Lyka, Károly: Magyar Művészet (L'art hongrois) 1800—1850. 17 Un possession de Madame Kovacsics. petite-tille de Karolj' Telepy. 18 Ce renseignement se trouve confirmé par un passage de l'autobiographie de Barabás: «J'ai fait le portrait au crayon d'Arthur Görgey, parrain de mon fils Elemér. Mon fils naquit le 26 janvier mais ne fut baptisé que le 29 mai, après la prise de la forteresse de Buda. » 19 Department des gravures de la Galerie Nationale Hongroise. Inv.:... 19 a 43 cm x 37, huile, toile, signé en bas, a droite: Telepy K. (En possession de Madame Kovacsics). 20 Gerszi, Teréz: A magyar kőrajzolás története (L'Histoire de la lithographie hongroise), 283 pages, 46 gravures. 21 Wallsel, Ágost Frigyes: Stancsics Mihály kiszabadítási diadalmenete (Le cortège triomphal de Mihály Stancsics libéré de sa prison). 22 En possession de Madame Kovacsics, petite-fille du peintre. Ce renseignement nous est fourni par une lettre de sa fille Amalie, lettre écrite à Pest en janvier 1849 et envoyée à Tardona (en possession de Madame Kovacsics): «J'ai reçu le 29 la lettre tant attendue. Je crois qu'il serait superflu de marier de ma joie, mais je dois dire que le manque de confiance de ma mère à mon égard m'a causé de la peine. Si mon père allait tomber sur le champ d'honneur ce dont . Dieu nous préserve, aurait-il élevé en vain deux enfants, les aurait-il élevés pour qu'ils manquent à leur devoir filial?... La nouvelle de la maladie de ce pauvre Károly m'a rendue trés triste et vous savoir malade, vous aussi, ma mère. . . Notre oncle compatit à nos malheurs, il a lu votre lettre tout ému et il regrette vivement de ne pas avoir amené ici Károly dont l'ennemi pourrait mettre les jours en danger, vu sa maladie. .. » 23 Journal en possession de Madame Kovacsics, petite-fille du peintre. 24 Nous venons d'en parler plus haut. Cf. la note 18. 25 «J'ai lu la lettre de mon père et la nouvelle de la mort de Mali. »