dr. D. Fehér Zsuzsa -Párdányi klára szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Közleményei 3. szám (Budapest, 1961)

NOTES Les études consacrées à Medgyessy ne manquent pas de mentionner ces caractéristiques fondamentales de son art. Voir à ce sujet: Farkas, Z.: L'exposition des oeuvres de Medgyessy. Nyugat (revue Occident), année XXV. 1932. t. I, p. 230. Farkas, Z.: Les monuments récents de Ferenc Medgyessy. Magyar Művészet (Art Hongrois), 1935, p. 347. — Farkas, Z.: — Exposition de Medgyessy. Magyar Csillag (Étoile Hongroi­se), 1942, 1, t.p. 378. — Farkas, Z.: Ferenc Medgyessy. Nécrologie. Művészettörténeti Értesítő (Bulletin d'Histoire de l'Art). 1958, p. 247. — Lyka Károly : Ferenc Medgyessy. Magyar Művészet (Art Hongrois), 1934, pp. 1—8. Nous n'ignorons pas que plus d'une figure de Medgyessy, immobile en apparence, exécutée dans le respect absolu de la statique, trahit néan­moins une forte tension intérieure. Cependant dans le cas du Cavalier touranien, du hongrois primitif, de Sándor Körösi Csorna, cette tension ne se relâche pas dans les gestes; le dynamisme de ces statues ne s'ex­prime pas dans le jeu des contours. Puisque c'est le mouvement exprimé dans les gestes aussi qui nous préoccupe et que le problème d'un dynamisme intérieur, caché, ne nous intéresse pas pour le moment, ces statues n'en­trent pas dans le domanie de nos investigations. Medgyessy, F.: Propo-i sur ma vie, sur l'art. Budapest, 1960, Dans l'Auto­portrait écrit, p. 16. Medgyessy, F.: Cent dessins. Budapest. 1956. Tout en évoquant les écrits de Medgyessy, nous n'oublions point que ce sont ses oeuvres qui font connaître l'artiste et non ses confidences. Mais on ne peut mettre en doute la sincérité et l'absence d'artifice des confidences de Medgyessy sur son art. Il serait donc erroné de ne pas en tenir compte dans le jugement que nous voulons former sur son oeuvre. * Vers emprunté au poème de Gyula Juhász: À Béla Bartók. ' Weege, F.: Der Tanz in der Antike (La danse dans l'antiquité). Halle, 1926. 8 Medgyessy, F.: Propos sur ma vie, sur l'art. Budapest, 1960. Medgyessy, F.: dans l'Autoportrait écrit, p. 22. 8 Weege, F.: Etruskische Malerei (La peinture étrusque). Halle, 1921. — Palottino, M.: La peinture étrusque. Genève —Paris —New Tork. 1952. 10 Mentionnons ici une statue en pierre de Medgyessy, le Petit Pêcheur, érigée dans l'établissement de bains Széchenyi, qui tout en ne représen­tant pas la danse, mérite d'être évoquée car elle est complètement identi­que par l'expression du visage à l'Apollon de Véies (Rome, Villa Giulia), fournissant ainsi la preuve de ces analogies extrêmement rares dans l'oeuvre de notre artiste. 11 László, Gy.: F. Medgyessy. Budapest. 1956., p. 9. 12 Cf. avec Soós, Gy. —Szilágyi, Gy. J.: La plastique de Miklós Izsó et l'art antique. Bulletin du Musée National des Beaux-Arts. Budapest, 1956. N» 8, pp. 117—120. l * Dans l'étude qu'il consacra au caractère hongrois, l'écrivain Mihály Babits conclut, après une analyse profonde de notre littérature nationale, que le Hongrois er' caractérisé avant tout par son esprit contemplateur, par son attitude pour ainsi dire statique (Voir Mihály Babits: Sur le caractère hongrois. Dans «Qu'est-ce que le Hongrois?» recueil d'études rédigé par Gyula Szekfü. Budapest, 1939, pp. 37—86.) 14 Voir C. G. Jung: Uber die Psychologie des Unbewussten. (Introduction à la psychologie de l'inconscient.) Zurich, 1943. p. 130. 16 Ferenc Medgyessy: Propos sur ma vie, sur l'art. Budapest, 1960. p. 80.

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