Budapest Régiségei 17. (1956)

TANULMÁNYOK - Nagy Tibor: Héraklész bronzszobrocskája Óbudáról 9-44

Sieveking, Die Bronzen d. Sammlung Loeb, 1913, p. 36 ; S. Beinach Rép. d. stat. III. p. 143, 4). P. Jamot, Mon. Piot, I, 1894, p. 153 no 1. a dressé la liste des petits bronzes du Louvre. F. Stähelin, Die Schweiz in röm. Zeit 3 1948, p. 453, n. 2 et fig. 106, parle des trois statues de Jupiter, décou­vertes en Suisse, dont le bras gauche et le manteau qui le recouvre furent fondue à part. — Pour la fonte à part d'une partie du vêtement, voir les exemples, pris parmi les statuettes provin­ciaux, de Cr. Hafner, Germania, 22, 1938, p. 97, 2, — Pour les antécédants grecs de la fonte en plusieurs parties, voir : D. K. Hill Catalogue class, pp. XVII, et suiv. (avec exemples). Nous le retrouvons déjà dans les bronzes égyptiens, où la fonte des pièces à part., souvent «préfab­riquées» en série, se pratique dès le Nouvel Empire. 67. Boeder, Aegyptische Bronzewerke, 1937, pp. 204, et suiv. Cette pratique a survécu, non seulement en Egypte, à l'époque impériale (d'intéressants exemples sont cités, à cet égard, par K. A. Neugebauer, Schumacher Festschr. Mayence, 1930, pp. 234 et suiv.), mais sussi en Rhénanie (G, Behrens, Germania, 26, 1942, p. 36. et pi. 3.). 64 K. A. Neugebauer, 87. Winckelmannsprogramm, 1927, pp. 1. et suiv., et Antike Plastik. (Festschr. f. W. Amelung. 1928.) pp. 159 et suiv. — En de­hors de cet atelier, nous pouvons citer une sta­tuette de Mayence représentant Vénus (G. Behrens, Germania, 26, 1942, p. 36) ; une statue, avec une robe de femme, de Cologne (?) (Germania 1931, pl. 11); un buste de satyre mis au jour près de Worms (Aug. Feigel, Schumacher Festschr. 1930, pp. 280—281, pi. 27.), etc. 65 Chr. Simonett, Die röm. Bronzestatuetten der Schweiz, 1939, pp. 11 et suiv. 66 p r Fremersdorf, Germania, 25, 1941, p. 38 et suiv. 67 Fr. Cumont, Comment la Belgique fut rornanisée ? p. 49., fig. 16. 68 6?. Colza, Not. d. Se. 1915, pp. 253 et suiv., fig. 13. (Ostie) — A. Minto, Not. d. Se. 1934. pp. Fig. 1. Un détail du sarcophage d'Héraclès conservé à la Villa Albani. D'après Robert Fig. 2. Un détail du sarcophage conservé à la Villa Ludovisi. D'après Robert Fig. 3. Le sarcophage d'Héraclès conservé au Louvre. D'après Robert Fig. 4. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de face Fig. 5. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de face Fig. 6. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de trois quarts. Côté droit Fig. 7. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de droite Fig. 8. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de trois quarts de dos. Côté droit Fig. 9. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de dos 52 et suiv. (Arezzo), — A. Degrassi, Not. d. Se. 1930. pp. 1. et suiv. (Aquileia, Tergeste), etc. 69 H. Bulle, Der schöne Mensch, pl. 178 et 179. — H. We­deking, R. M. 1940, pp. 214, et suiv, — B.Paribeni, Bull. Com. 74, 1954, pp. 14 et suiv., fig. 1, et pi. I. 70 Le front haut, avec la naissance des cheveux au sommet du crâne, pourrait être le mieux confronté avec le «Pugiliste» du Museo délie Terme. V. à ce propos, la référence la plus récente : Carpenter, Am. Journ. Arch. 1948, pp. 118 et suiv. Il n'est pas exclu que notre statuette d'Héraclès se rattache au modèle de Pergame non pas directement, mais en passant par une transformation que l'on peut supposer datant du I er siècle avant notre ère. 71 L. Morricone, Bollettino d'Arte, XXVIII, 1935, pp. 568 et suiv. fig. 1 à 4. Déjà Johnson, Lysip­pos, 1927, p. 199, no 37, fait mention de la statue. 72 Morricone, op. cit., a reconnu dans la statue de Bologne une variante de la statue du sanctuaire d'Hercule près d'Ara Maxima. D. K. Hill, Arch. Class. II, 1950, 198—200 a publié récemment deux statuettes d'Hercule «à toge». 73 H. Bazin, Gazette archéol. XII, 1887, p. 178, pi. 26. Il en souligne «les formes massives, l'ossa­ture puissante, les muscles saillants», etc., que la gravure, assez faible, ne rend cependant pas. ™Mon. Piot, XX. 1, 1913, p. 159, fig. 4. S. Beinach, dans «Bronzes figurés de la Gaule romaine» p. 29 invoque à juste titre les traditions lysip­piennes à propos de la statue. 75 P. Weizsäcker, J. d. I. IV. 1889, p. 150, pi. 3. 76 Babelon —Blanchet, Bronzes de la Bibl. Nationale, p. 188, no 426. 77 La statuette de bronze d'Héraclès, découverte en même temps que celle dont nous parlons dans la note 73, montre bien l'infériorité technique des ateliers locaux et la conception, s'inspirant de l'idée du bas-relief, des maîtres locaiix. Pour le remaniement gaulois du modèle classique, il est fort intéressant de comparer les statues de Mercure de Tirlemont et de Givry. V. Curnont, op. cit. fig. 48 et 49. Fig. 10. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de trois quarts de dos. Côté gauche Fig. 11. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de gauche Fig. 12. La statuette de bronze d'Héraclès. Vue de trois quarts. Côté gauche Fig. 13. Détails du corps de la statuette Fig. 14. L'Héraclès d'Óbuda. Vue de face. Détail Fig. 15. La statuette en bronze d'Héraclès. Détail Fig. 16. Le torse du Satyre des Uffizi de Florence, Vue de face Fig. 17. L'Héraclès d'Óbuda. Vue de dos. Détail Fig. 18. Le torse du Satyre des Uffizi de Florence. Vue de dos Fig 19. L'examen spectographique du matériel de bronze de la statuette d'Héraclès (voir l'article de B. Weszprémy) TABLE DES ILLUSTRATIONS 36

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