Mitteilungen des Österreichischen Staatsarchivs 44. (1996)

STRIMITZER, Birgit: Der k. k. Staatsrat Friedrich Freiherr Binder von Krieglstein, Freund und Sekretarius des Staatskanzlers Kaunitz. Ein Beitrag zur Klientelpolitik der maria-theresianischen Epoche

Mitteilungen des Österreichischen Staatsarchivs 44/1996 - Rezensionen positiven Aufklärungspostulat nicht zustimmen! Dennoch wird die Diskussion in diesem Bereich weitergehen, nicht zuletzt auch wegen dieses ungemein wich­tigen Buches. Neben profunder und gediegener Information ordnet es die teils verwirrende Begriffsvielfalt „Österreich“ in angemessener Weise, das heißt ohne zu simplifizieren oder Komplexitäten zu bagatellisieren. Die damit vorliegenden Begriffsklärungen bieten für jede Auseinandersetzung mit dem Österreichbegriff ein gesichertes Fundament - erhitzte Debatten können damit auf eine gediegene Grundlage zurückgeführt werden. Thomas Fröschl, Wien Zwischenstaatliche Friedenswahrung in Mittelalter und Früher Neuzeit, hrsg. von Fleinz Duchhardt. Wien-Köln-Weimar: Böhlau 1991 (Münstersche Historische Forschungen 1). 260 S. Le volume intitulé „Zwischenstaatliche Friedenswahrung in Mittelalter und Früher Neuzeit“ présente les actes d’un colloque tenu ä la salle des fétes du Chäteau de Münster les 25 et 26 septembre 1989. II rassemble les contributions d’éminents historiens tant allemands, qu’autrichiens, italiens ou britanniques: Dietrich Kurze, Dieter Mertens, Reimer Hansen, Hermann Weber, Herbert Lan­ger, Leopold Auer, Dieter Wyduckel, Karl-Heinz Lingens, Jeremy Black, Armin Reese. C’est á Heinz Duchhardt que revient le mérite d’avoir présenté et coor- donné ce riche ensemble. Le volume prend place dans le renouveau de l’histoire des relations internatio­nales et, plus globalement, dans celui de Thistoire politique. Aprés avoir été quelque peu négligée, cette discipline est derechef prisée, y compris des histo­riens du Moyen-Age. Ce colloque en témoigne puisque il laisse une place de choix á deux contributions de médiévistes, l’une relative á la reflexion sur la „Paix et la Guerre dans la pensée médiévale“ (D. Kurze), vaste probléme s’il en est, l’autre á l’éternel débat qui agita les pouvoirs politiques du temps, la néces- sité de réaliser la paix européenne pour combattre efficacement le Tűre (D. Mertens). La Renaissance est abordée par un exemple pratique: le plan de paix euro­péenne de Heinrich Rantzau, en 1591, en pleine tourmente religieuse, car le XVP siede est aussi le siécle qui voit voler en éclat l’ancienne unité confession- nelle de la vieillc Europe (R. Hansen). La reflexion sur la paix internationale passe inévitablement par la reflexion juridique: D. Wyduckel met en évidence les progrés (modérés) d’un „Jus Publicum Europaeum“. Mais la distance est grande entre le discours sur la paix et la pratique de la paix. La recherche de la paix passe souvent par la guerre. C’est ce que soulignent les deux contributions consacrées á la guerre de Trente ans (H. Weber pour la politique de Richelieu et H. Langer pour la conception „réaliste et sceptique“ suédoise). Le conflit mobilisa le potentiell européen par- fois jusqu’á épuisement; et pourtant, selon le mot de Richelieu, il s’agissait de 488

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