Mitteilungen des Österreichischen Staatsarchivs 12. (1959)

HRAZKY, Josef: Die Persönlichkeit der Infantin Isabella von Parma

214 Josef Hrazky unterthänigkeit alle glückseligkeit dieser und jener weit zu erlangen [zu wünschen]. Euer königlichen Hoheit haben probe genug und seyen genug versichert meiner Ergebenheit und werden, hoffe ich, meine wünschen annehmen. Die belohnung wird mein Verlangen übertreffen, wenn Sie, Gnädige Frau, mir noch ein Theil in Ihre Freundschaft geniesßen zu lassen geruhen. Ich verharre mit tiefster Ehrfurcht Euer Königlichen Hoheit 4) Unterthänigst gehörsamst [er] Diener Hans Christoffel. 1 2) Prélat von Neukirchen. VIII. 22. [1. I. 1761] Bonsoir, ma Soeur, je reçois dans ce moment votre billet, vous avés grande raison de croire, que je connais le prélat en question2), il est fort de mes amis, mais je serois fort tentée de me scandaliser de la remarque, que vous avés faite sur le cachet, ce prélat vous adore et c’est sans doute pour la bonne aimée qu’il vous écrit, il vous connoit, vous le connoissés; il vous aime et est aimé, je serois pourtant fâchée, quoique je n’ai rien de cacher pour vous que toutes mes lettres vous parvinrent. VIII. 22 a. adieu, bonsoir, je mangerai, si je puis, dormirai sûrement trés bien, vous aime et aimerai sans cesse, vous souhaite le bonsoir, la bonne année4) et vous embrasse de tout mon coeur. X. 30. Voici, chere Soeur, ce papier, que vous avés voulu avoir, le grand est le veri­table, le reste, c’est les pieces, qui l’ont composé, il ne manque à ces dernieres que les liaison [s] entre elles®), vous les voirés dans l’autre, vous pouvés les rajouter, il reste assés de papier, amusés vous à lire, je le remets entre vos mains, c’est à vous à voir, s’il est digne d’etre présenté ou non. demain pendant le conseil d’état je serai chés vous, nous pouvons en raisonner, ne le faites pas voir à ma Soeur Marie Anne, si vous pouvés; je dirai à celle, qui le portera, de vous le remettre avec precautions. Adieu, je vous baise en idée en attendant la réalité chés l’Empereur. S. u. X. 20. X. 31. Vous serés et(t)onnée, chere Soeur, de recevoir ce billet à votre reveil et vous penserés, ou que je suis bien matineuse, ou que je vous écris avant d’aller à confesse, ni l’un ni l’autre: n’ayant rien pu prendre cette nuit, dès que j’ai commencée à tousser, parceque il etoit minuit passé, j’ai si prodigieusement toussé jusqu’à 2 h. s/4 et avec tant de violence, que j’ai été obligée par force de boir, après quoi j’ai encore toussé de tems en tems, mais beaucoup moins, voila pourquoi je ne confesse pas, quoique j’y fusse toute préparée. Adieu, 1) In kalligraphischer Großschrift. 2) Von Isabella erfundene Person. s) Hans Christoffel, Prälat von Neukirchen. 4) Neujahr 1761. '•) Aufsätze Isabellas, die Marie Christine begutachten soll, ob sie der Kai­serin vorgelegt werden können; auch die Vasquez muß ihr Urteil abgeben.

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