Hajnal István: A Kossuth-emigráció Törökországban, I. kötet (Budapest, 1927)
IRATOK
duly appreciate this motive for my silence. Perhaps even now as an Englishman it is superfluous that I should offer you the assurances of my sincere sympathy and best wishes for your personal wellfare. Mr. Benett my secretary influenced by a laudable desire to make Your personal acquaintance makes a trip of a few days to Shumla. I take the liberty to profit by this circumstance to beg you to share with me some English adjunts of the table which it has occured to me may be difficult to procure in Shumla. Indeed I have to reproach myself for not having done so much sooner. I trust the pleasure is reserved to myself of making your personal acquaintance and in the meanwhile I have the honor to subscribe myself n '! a .- <«# , ~ « J Dear oir Yours very respectfully Edward S r John Neale. A Möns. Möns. Louis Kossuth etc. etc. 95. Konstantinápoly, 1850 január 11. Czaykoivski Kossuthnak az internálás meghatározott módjainak' változhatlanságáról. S. k. aláirt eredeti levél. N. M. Monsieur, J'ai recu Votre dépéche á la date du 30 Décembre 1849 je me suis empressé de la communiquer á l'instant á S. E. leMinistre des affaires étrangéres. Je sais que le General Guyon et Mr. Beek ont fait des demarches auprés des Ministres Ottomans. Mais c'est avec regret, que je dois Vous annoncer, que rien ne peut étre change quant au fond de la question. L'internement et 1'expulsion étaient les deux conditions données par la Porte, quand Elle a refuse 1'extradition. La Russie et l'Autriche condescendant au désir de la Porte l'obligent ä tenir ce qu'elle á promis. L'arrangement avec la Russie est conelu et quand Vous recevrez cette lettre Monsieur, il sera conelu aus si avec l'Autriche. Les engagemens sont pris de concert avec l'Angleterre et la France et la Porte est obligee de les exécuter, autrement Elle aurait eontre elle non seulement ses ennemis, mais mérne ses allies qui veulent la paix. Telle est la veritable position de la Porte ; si elle ne répond pas a nos désirs, eile ne nous permet pas non plus de l'accuser. Quant au choix de la ville de Koutaya, jepuis vous assurer qu'il a été fait justement, parce qu'on croyaii » L. 84. sz.