Bakács István: Családok, testületek és intézmények levéltárai (Levéltári alapleltárak I. Országos Levéltár 7. Budapest, 1953)
Résumé . ^8 présent volume, faisant partié de la série des inventaires des différentes archives dóposées aux Archives Sationales /Országos Levéltár/ de Budapest, contieiat surtcmt des inventaires d f archives de famille. Celles-ci furent réunies, d*une part, por les Archives lationales, d'autre part, par la Section d*Archives de la Bibliotheque lationale S*óV. ~ chényi qui'arait appartenu au Musée National Hongrois. LorBque, en 1934, cetté section cessa d'exister, ses fonds entrerent dans la possession des Archives lationales. Actuellement les archives de famille, de ménje que les .archives des associatian*.$i les institutiane q»i figurent dans l'inventaire sont cunfiées aux soins de la Seeticm des Archives Privéee et des Collections* Les archives de famille versées dans la possession du Trésor au tamps du gouvernement féodal sont ógalement gsrdées aux Archives lationales, notamment a la section dite Archives de l^dministration des Finances, . Les archives de famille, au lieu d*étre fondóes par des organisations officielles, ont pris origine au.coursde l'histoire de certaines familles. II s'ensuit que ces archives différent beaucoup les unes des autres aussi bien par leur caractere que par leurs matériaux. Les diverses familles avaient intéret a garder jalousement surtout les pieces garantissant leurs droits a la propriété terrienne; d'autre part, au cours de l'administration et de l'exploitation des biens familiaux s'accumulaient mérne les documents a caractére économicpe. In outre, les archives de famille s # enrichissaient de la correspondance des membres des familles sóit entre eux, sóit avec d'autres personnes. Ces correspondances se rapportent aux eujets les plus divers: on y retroúve non seulement des dorméea concernant certaines personnes ou la vie de la famille en questioii # mais bien souvent aussi Pécho de maints óvénements hiatoriques. Les familles de grands propriétaires, chez lesqueliee Padministration de propriétós tres étendues exigeait l*engag©meait de plusieurs employós, dévaiént se munir d*une orgaaisation administrative qui ne tardait pas a cróer des arahives inatallées, d-a% la plupart des cas, a la m-iére des archives das organes officiels. Lok. 14787-53
