Fülep Lajos levelezése VII.

Függelék

3 Ld. 2570/13. 4 A cikk Dutka Ákos: Vallomások könyve. (Költeménvek.) címmel f. 1. szignóval jelent meg. = Hazánk, 1904. XI. évf. 123. 7-8. V. 25. 1 Ady csaknem az egész 1904-1905-ös évet Párizsban töltötte. FL ezalatt 1904. VI. 19-1X. 26. között volt Párizsban, de nem találkoztak egymással. ''Az 1904-1906 közötti évekből FL hagyatékában 2 Dutka-Ievél, Dutka Ákos hagyatékában 17 FL-levél maradt fenn. (Ld. FLev. I. 1-16., 21., 23-24. sz.) 7 Ady nem válaszolt FL levelére, s egy évvel későbbi, 1906. 111. 4-én kelt levelét mentegetőzéssel kezdi: „Bátyádnak mondtam már, hogy ellened vétettem, válasz nélkül hagytam egy kedves leve­ledet. Hogy vezekeljek s hogy megismerjelek személyesen, igazán régi akaratom. Az éjszakába idézni nem akarlak. Ha nincs ellenedre, hétfőn este kilenc órakor légy a Szabadság kávéházban." (FLev. I. 19.) * Ady 1904 őszétől lett a Vészi József szerkesztette Budapesti Napló munkatársa, bár írásai már korábban is jelentek meg a lapban. "A Hazánk c. napilap 1893-1905 között jelent meg. a nagybirtokos arisztokrácia orgánuma volt. Megszűnése után 1905-1906-ban Az Ország c. lap lett a folytatása, amelynek FL ugyancsak munkatársa volt elbocsátásáig. 3248. BERGER, LOUIS - FÜLEP LAJOSNAK [Párizs, 1913.] II. 9. Mon cher Fülep, Je ne sais comment m'y prendre pour obtenir ton pardon. Je n'ai pas d'excuse. Mais je suis si négligent! Et depuis ta dernière lettre, amicale et savoureusement originale - j'y ai bien retrové tout - ton caractère, mon brave ami - j'ai eu tant de tracas que j'ai toujours renvoyé à plus tard la réponse que je te devrais. J'ai été très ému en la lisant et tut peux être certain que mon silence n'a en rien atténué les sentiments de camaraderie fraternelle que j'ai pour toi. Je suis resté un mois à l'avenue du Maine, près de chez toi. Puis, en décembre, je n'ai rien fait. Je suis rentré au premier janvier chez Peccoux, où j'étais auparavant, près de la Brasserie Schmitz où, nous allions avec André 1 et l'élève de ma pharmacie. Dans quelques jours, je fais probablement entrer à la pharmacie Dufayard 12 rue des Saints-Pères où était Charpin. Aussi tu pourrais me répondre à cette nouvelle adresse. André est toujours en Savoie. Je ne l'ai pas revu. Et il m'écrit assez peu, le paresseux. Je lui rendais „Aphrodite". „Chouchou" est terminée. Je te l'enverrais peut-être avec l'album du „Démocrate". J'ai entrevu un jour Chouchou au Darcourt avec un type, mais je ne lui ai pas causé. Quand donc reviendrais-tu à Paris? Je serais si content. Je crois que nous serions en­core plus amis qu'avant. J'ai été ces derniers jours à un meeting révolutionnaire pour le peuple russe. C'était magnifique. L ., Ennemi du Peuple " faute d'argent a cessé de paraître et c'est bien dommage. Mon cher ami, je voudrais pouvoir encore t'en dire plus longues. Mais le patron va rentrer etje renvoie à un autre jour. 586

Next

/
Thumbnails
Contents