Savaria - A Vas Megyei Múzeumok értesítője 5-6. (1971-1972) (Szombathely, 1975)
Művészettörténet - Koltay Jenő: A szombathelyi Herzan-könyvtár művészeti könyvei I.
les bâtiments ecclésiastiques les plus nécessaires avec une énergie puissante: le séminaire, le palais episcopal et la cathédrale. Ce sont ses successeures qui continuaient et finissaient son oeuvre. L'archevêque primat François Herzan de Haïras fut le deuxième évèque du diocèse. Il ne se faisait pas connaittne d'abord par son séjour de Szombathely. Quand il y arriva, à l'âge de 66 ans, il fut déjà vieux, malade et usé. Il restait pontife du diocèse seulement pendant 4 ans. Mais auparavant il fournit une carrière brillante. C'est pourquoi que nous traitons en bref sa biographie. Il naquit à Prague le 5 avril 1735 d'une noble famille tchèque. Ses parents furent: comte Ferdinand Herzan et baronne Anna-Marie Putz. Le jeune homme ingénieux passait ses études secondaires et universitaires à Prague. Pus il continuait ses études à Rome, comme pensionnaire du collège Germanico-Hungaricum. Une fois fini ses études, il fut nommé chanoine de Prague, abbé d' Almád et vicaire général. Marie Thérèse remarqua ce jeune ecclésiastique talentueux d'illustre naissance. Elle le fit appeler à Vienne. Il devint son ambassadeur de Parme. De 1769 à 1775 il était de nouveau à Rome comme membre de la Rote romaine. C'est là que son talent juridique et diplomatique se dégagea. En 1775 il fut nommé agent de l'empire romain-germanique par Maria Thérèse. En 1777 il devint conseiller intime et en 1779 cardinal de couronne. A cela s'ajoute encore — en dehors des autres distinctions — le titre „Protector Germaniae" aussi. (C'est Herzan qui portait la dernière fois). (1. image). En 1780 Joseph II monta au trône. Herzan velléitaire ayant une caractère maniable, exécutait la volonté de Joseph II en toute chose. Etant son protégé, le souverain lui faisait bien voir que son bonheur dépendait de sa faveur. Il lui supprima ou bien diminua plusieurs fois son paiement sur quoi sa réponse ne fut qu'une humble prière. Herzan avait deux grandes activités diplomatiques. La première en était la reception du pape Pius VI. à Vienne, la deuxième la négociation secrète entre le pape et Joseph II à Vatican en 1783. Pendant les successeurs de Joseph II. Herzan tombait de plus en plus en disgrâce. En réduisant continuellement son paiement il avait toujours des ennuis d'argent. Puis il doit se réfugier aussi pour échapper à des persecutions françaises. Les soldats français pillent son palais de Rome. Il s'appauvrit de plus en plus fort, il adressait des prières à la Cour. François I lui offra d'abord l'éveché de Parme, mais il repoussa cette offre à cause de probables attaques françaises. Mais après la mort de Szily il doit accepter la diocèse pauvre de Szombathely (1—4). On le sacre éveque avec une fête splendide, son intronisation était aussi solennelle. Mais il accepta seulement par nécessité l'éveché. Ca se voit aussitôt. L'âge Г a bien cassé, une déchéance physique et morale le terrasse. Il mourut à Vienne, le 2 juin 1804. Selon son souhait on l'enterra dans la crypte de la cathédrale de Szombathely .(5—12). Après la mort du cardinal une discussion s'engagea surtout sur ses livres avec ses successeurs. En fin de compte les livres restaient à Szombathely selon l'accord de Kollonich. (La plus grande partie de la collection de tableaux est à Prague à l'heure actuelle dans le musée de Herzan). (13). Dans sa galerie de tableaux Herzan avait 76 peintures de grande valeur, oeuvres originales, copies des artistes de réputation mondiale. Leur liste se 539