Az Egri Múzeum Évkönyve - Annales Musei Agriensis 11.-12. (1973-1974)
Izsépy Edit: Az egri törökök fogságába esett magyar rabok kiváltásának és szállításának problémái
Izsépy Edit LES PROBLÈMES DE RACHAT ET DE TRANSPORT DES: PRISONNIERS HONGROIS EN CAPTIVITÉ TURQUE. Les prisonniers hongrois languissant dans les prisons de la forteresse d'Eger s'unirent en fondant des communautés des captifs. Ils écrivaient des lettres demandant la protection du palatin ou du capitaine suprême de la Haute-Hongrie, François Csáky. Les prisonniers hongrois, surtout les soldats, étaient échangés contre des captifs turques, mais c'était plus habituel de payer rançon aux Turques pour leur libération. Pour rassembler la somme, le prisonnier hongrois était relâché avec un jambe aux fers, accompagné d'un captifconducteur. Ses compagnons en prison étaient responsables de lui. Si le prisonnier relâché n'était pas revenu à temps les compagnons étaient torturés, maltraités. En cas d'évasion du prisonnier relâché, les répondants étaient obligés de payer la rançon. Les captifs mis en liberté recevaient de la population des villes et des villages de la nourriture, par-ci-par là de l'argent. Quelques— uns voulaient davantage. Pour les serfs surtout le transport était une lourde besogne, spécialement pendant le temps de la récolte et de l'engrangement. À cause de cela, les départements hongrois et même le pacha turque ont interdit par plusieurs dispositions le transport des prisonniers. En 1654 on a indiqué la route pour les prisonniers entre Eger et Fülek. Les prisonniers hongrois ont demandé du palatin Wesselényi et du capitaine Csáky que les maires villageois leur donnent moyennes de transport, en se rapportant au fait que c'était pour la Patrie qu'ils fussent enchaînés. Il y a de mérite, que les prisonniers de la forteresse d'Eger transmettaient parfois des nouvelles aux forteresses des confins des manoeuvres militaires turques. 16»