Módy György: Képzőművészeti írások (A Hajdú-Bihar Megyei Múzeumok Közleményei 34. Debrecen, 1978)

Résumé

En 1941 il dessine le plan d'une nouvelle fresque — «.Scènes de la vie de Szent ist van» (Jele­netek Szent István életéből, aquarelle) Mais, hélas, celui-ci, pareillement au plan d'ensevelissement d'István, ne fut pas réalisé, à défaut de soutien. Et pourtant, ce sont justement les tableaux histori­ques qui montrent que le terrain le plus apte à la monumentalité de Holló, aurait été la fresque. Il s'intéressait aussi-aux autres périodes de notre histoire, sinon avec une passion qui l'aurait poussée d'une manière coercitive aux nouvelles compositions, comme le temps d'István 1 er . Dans les années 1930 il se préparait à faire de grandes compositions sur le sujet: les combats turques et hongrois. Il cherchait l'autre grand retour de destin de l'histoire hongroise. Et c'est vraiment l'époque de la conquête turque. Le sujet qui était encore proche de lui, c'était la bataille de Debre­cen de 1849, ayant des suites malheureuses. Il a peint les tableaux: «Le cheval blessé et le hussard» (Sebesült ló és huszár, à l'huile, 47,5x57 cm.), ensuite «La bataille de Debrecen» (Debreceni csata, à l'huile, 61 X73 cm.) Le cheval blanc y devint aussi un des plus importants éléments. C'est le cheval blanc chez lui qui symbolise le sort tragique des Hongrois. La foi historique interne des deux tab­leaux est boulversante, malgré la défaite, ils nous peuvent suggérer le vrai de l'affaire perdue.

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