Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 21. 1981 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1984)

Bronzes romains figurés et appliqués et leurs problémes techniques. Actes du VIIe Colloque International sur les bronzes antiques - Szabó Klára: Balsamaires en bronze provenant de la Pannonie. p. 99–113. t. LII–LV.

Type 4. fig. 5, 4. Son col est cylindrique, parfois assez long, sa panse globulaire. Ces pièces sont originaires des sites de Hauran (RICHTER 1915, 195—197 № s 516—517), Cologne (Hagen 1906, 408—411 Taf. XXIII h, XXIV i.; NIESSEN 1911,183 Nos 3586—3587 Taf. CXV), Aubigny (TASSINARI 1975, 76 № 207 PI XXIX), Nijmegen (DEN BOESTRED 1956, 85 № 302 PI XII), Urdengen (WALTERS 1899, 321 № 2455), Au­gusta Traiana (Stara Zagora) (Raev 1977, 630 640 № 77). En général, ils apparissent en tant que mobilier de tombe riche, au côté de céramiques ordinaires, de verrerie, de stri­gilis, de casseroles de bain, de centure à les porter, de petit coupe en métal blanc, de mirroir en bronze. Ceux de Pan­nonié: № 1, Halbturn. L'enterrement est daté par A. Radnóti au milieu du III ème siècle, néanmoins le bal­samaire en soi peut-être antérieur (Radnóti 1966, 200— 211). № 2. Intercisa, nécropole XVIII, tombe 24. fig. 1. Datation: IH ème siècle. (Radnóti 1957, 191 № 47). № 3. Dunaújváros, provenance inconnue, fig. 2. N° 4. Probablement Campona. (PI. LV, 3—4). Type 5. fig. 5, 5. Correspond au type 29 de B. A. Raev (1977, 630). Ses caractéristiques sont les suivantes: corps ventru, col étroit, panse profondément. Les exemplaires qu'il faut mention­ner ici venaient de Nijmegen (DEN BOESTERD 1956, 86 № s 303—304 Pi XII) un autre que l'on conserve au Musée de Vienne (BOUCHER 1971, 133 № 244) de Champlieu (TAS­SINARI 1975,75—76 PI XXXIX № 206) et Cologne (NIESSEN 1911, 183 № 3588 Taf CXV). Les pièces pannoniennes venaient des sites suivants: № 5. Batim, № 6. Carnuntum, Л г0 7. Vajta, № 8. Intercisa, № 9. Gerulata. Typeso—10. fig. 6, 6—9; fig. 7, 10. Correspondent aux types 14 de D r e x e 1 (1909, 191) et 32 de Raev (1977, 630). Ici trois touvailles ont servi d'indication précieuse: le tumulus de Herstal (Renard 1900, 167—232), le balsamaire fermé immergé de la Saône (Bonna­mour 1978,39) fig. 9. et la tombe à incinération de Meschenich bei Brühl où l'on a trouvé des traces de graisse. (Lehner 1901, 233—235). Les 3 récipients ont les caractéristiques suivantes: a) le façonnement du bord assure le maintient de l'eau et des matières parfumées se trouvant à l'intérieur. Ces pots sont coulés. b) l'embouchure est circulaire, en relief à l'extérieur, un peu gonflé à la façon d'un coussin, ornée de feuilles et d'oves et dégradée à l'intérieur. c) elle s'adapte exactement au couvercle à double paroi. d) il y a aussi une fermeture dans le geure des serre-bouc­hons. Au-dessous du bord, le col est concave, et désig­né par un ensembles de lignes. e) le ventre est globulaire avec ou sans décor. Sans décor type 6. Décoré en relief avec ornementation type 7 ou avec des figures types 8—10. Au point de vue technique on peut constater le repous­sage, niello, l'incrustation d'argent. Le fond de chaque ex­emplaire est mouluré. La hauteur varie entre 5 et 10 cm. 33 exemplaires ont été publiés, ils datent du I er au IV ème si­ècle, i Fig. 1 Type 6. fig. 6, 6. Sans décor. L'anse est de forme circulaire. Ses terminai­sons redressées représentent des têtes de cygnes, parfois stylisées. Elles s'appliquent aux épaules du récipient par des anneaux et des attaches. Parmi les attaches, certaines sont à col de palmettes, que l'on retrouve sur les situles des types italiens (RADNÓTI 1938, 108—113 Taf IX, 47; EGGERS 1951, 161 Types 24—28). Le musée de Nijmegen en possè­de 3 exemplaires qui proviennent du site de Nijmegen ou du moins suppose-t-on des proches environs. (DEN BOES­TERD 1956, 88—89 N 0i 5 308, 309, 312 PI XII). Dans la tom­be à incinération de Meschenich bei Brühl on a découvert une lampe, des petites plaques en plomb et 4 strigilis en fer. (Lehner 1901, 233—235). Parmi les sites occidentaux, nous devons citer l'exemp­laire découvert dans le lit da la Saône puisqu'il en a été sorti fermé et qu'un simpulum se trouvait à l'intérieur (Bonnamour 1978, 39). fig. 9. Les autres se concentraient aux alentours de l'ancien Odessos. Sur le territoire d'Odessos, en 1967, l'exemplaire découvert une tombe à ossement, dans laquelle on a trouvé un ensemble de pot globulaire et également un buste-bal­samaire sur une base, un simpulum, des strigilis en bronze, une lampe en terre, un mirroir en bronze et une pièce de monnaie d'Antonin le Pieux (Raev 1977, 630, 641 № 97). Une autre tombe à incinération de Augusta Traiana mis à jour également à côté du pot globulaire d'autres vaisselles 100

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