Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 13. 1972 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1974)
Szemle – Rundschau - Fitz Jenő: Epigraphica VI. XIII, 1972. p. 295-296.
mais ne se retrouve que sporadiquement au premier tiers du III e s., date de l'inscription selon R. H о s e k. Un complément différent des lettres au commencement de la ligne ne serait possible qu'en supposant que le lapicide a taillé incorrectement une lettre — ainsi : temp{\)um — ce qui est injustifiable. Ainsi nous pouvons, pour le moment, accepter l'explication qu'il s'agit d'une dénomination tardive de aedes. Cependant nous ne saurions guère adopter l'opinion de l'auteur sur la seconde moitié de la ligne. Le complément cum suifs] / ornamentis n'est pas inconcevable, mais dans ce cas la 3 e ligne serait plus courte que les suivantes et la première. Supposant que la seconde moitié de la ligne commence par un S, on saurait proposer le complément sfigno], ou sfigno et]. C'est surtout par la lecture incertaine de quelques lettres que l'interprétation de la 7 e ligne est rendue difficile. Pendant que les lettres sont relativement faciles à corriger au commencement de la ligne, elles ne rendent aucune explication univoque possible dans la seconde moitié. Le premier fragment au commencement de la ligne est une partie de la hampe droite d'un A, comme l'a constaté l'auteur aussi. La lettre suivante est, selon l'auteur, un D, mais pourrait être tout aussi bien un С ou un G. La 3 e lettre peut aussi étre un E, non seulement un G comme proposé par l'auteur. La 4 e lettre est certainement un R. Pour la cinquième, l'auteur nous propose un L, mais c'est contestable: la ligne considérée comme la hasta horizontale du L est en vérité une fracture s'allongeant jusqu'à la 8 e ligne. Nous croyons plutôt y reconnaître un I. La (i e lettre est sans aucun doute un D. Les lettres de la première moitié de la ligne se lisent donc comme suit : Si nous combinons les lettres incontestées (A — R — D) avec les lettres incertaines proposées par l'auteur (D — G —L), nous n'y reconnaîtrons ni un mot que nous porrions compléter, ni même une abréviation généralement employée. Si, par contre, nous nous servons de l'autre groupe de ces lettres (C ou G —E — I), nous arrivons à une solution qui se rapporte à Maronius Agathangelus nommé dans la (> e ligne: fsjacer(dotis) I(ouis) D(olicheni). Il y a 5 lettres dans la seconde moitié de la 7 e ligne, selon l'auteur: С L M V L, ce dont C, V et L sont nettement reconnaissables. Par contre, le complément des lettres 2 et 3 n'est pas concluant. La 2 e lettre pourrait être, en plus du L proposé par l'auteur, soit un E ou un N, alors que la troisième est plutôt R que M (d'après l'auteur), ou bien 1 ou A. Dans la seconde moitié de la ligne, les lettres présentent donc les variations suivantes : Les lettres, dont la lecture est incertaine, permettent plusieurs compléments différents. Sans compter la tentative de l'auteur, nous proposons les solutions suivantes : Gn. Iul(ius) I [M]aronius Glau(dius) L. I ff(ilius) M Jaronius Gerul(atensis) Les lettres 2 et 3 se laissent compléter encore dans d'autres formes aussi, il y a donc encore d'autres variations pour la solution de la seconde moitié de la ligne. Aucune des trois solutions proposées ici ne donne une interprétation aussi univoque que la solution qui s'affre dans la première moitié de la ligne. Les deux premières variations sont infirmées par le fait que le nom Maronius est à regarder plutôt comme nomen. La variation Claudius L. f. Maronius pourrait être supportée par le point entre le V et le L que l'on pourrait considérer comme trait d'union. Par son étrangeté la troisième variation n'est également guère plus qu'une des hypothèses. Dans la seconde moitié de la 9 e ligne la solution proposée par l'auteur pour le cognomen de [Mjaronius — Lègue — paraît douteuse. D'après les photographies les lettres EC ou EG paraissent probables, mais un V peut encore entrer en ligne de compte après la lettre C —G. L'auteur a tâché de motiver le mot étrange Legus par des analogies comme Licco ou Legas, mais sans pouvoir nous convaincre. D'après la photographie il pouvait y avoir encore un S avant le fragment des lettres ECV. Dans ce cas le cognomen pourrait être proposé dans la forme de Secufndus], avec les deux ou même trois dernières lettres placées déjà dans la 10 e ligne, où se discerne une lettre S devant LIB. Dans la suite l'interprétation de la 9 e ligne diffère certainement de la solution proposée par l'auteur si nous complétons la 7 e et 8 e ligne au nom Clau(dius) L. I ff(ilius) Mjaronius Secun/fdujs, ou On. Iul(ius) / f Mjaronius iSecun/fduJs, car il est improbable que cet homme fût libertus. Dans ce cas LIB signifie lib(enter). Conformément, nous proposons de compléter l'inscription de Gerulata comme suit: fl(oui) I O(ptimo) M(aximo) Dolichen{n}o / Aug(usto) / f?ae]dem cum sfigno? / et or]namentis et / fpojrticu pro salutfte I . MJaroni Agathangfe/li sjacer(dotis) I(ouis) D(olicheni) Gerul(atensis) — ou: Gn. (Iulius) ou: Glau(dius) L. / [f(ilius) — Mjaronius Secunjfdujs lib(ertus) p(ecunia) s(ua) f fecit ou : restituit] — ou : lib(enter) p(erfecit?) s(umptibus) fs(uis) /. J. Fitz 296