Fitz Jenő: Hercules-kultusz Eraviszkusz területén - István Király Múzeum közelményei. A. sorozat 4. (Székesfehérvár, 1957)
NOTES Les références bibliographiques sont indiquées dans le texte hongrois. 2. A ce sujet, voir mon article sur le costume féminin éravisque à paraître dans le „Archaeologiai Értesítő” de l’année 1957. 16. Voici ce que dit J. M. Stajerman au sujet des monuments érigés par les soldats: „Les liens entre militaires et civils étaient très étroits, ce qui fait qu’à cette époque ces deux catégèries ne peuvent être nettement délimitées. Lorsqu’il joignait l’armée, le soldat emportait avec lui les cultes, les conceptions, auxquels il s’était habitué chez lui, lesquels distingaient les membres de sa famille et ses concitoyens de son entourage.” Nous ne pouvons nous conformer sans exception à cette manière de voir. Stajerman ne perçoit pas qu’une partie importante des inscriptions militaires fut dédiée par des commandants de légions ou de cohortes, souvent par des compagnies entières, à leur propre dieu de la guerre, complètement étranger à toute conception civile. 24. Employé, à part les inscriptions, surtout sur des médailles. 26. Sur des médailles, chez Aurélien, Dioclétien, Constantin Chlore. 32. La première ligne: IDIB(VS) AVG(USTIS) se rapporte au sacrifice annuel de l’Ara Maxima. 34. J’ai l’intention de consacrer une étude spéciale aux sanctuaires d’Hercule en Pannonie. 40. Une discussion détaillée de ce type d’Hercule se trouvera dans mon étude mentionnée dans la note précédente. 96. Dans Ogmius on pourrait peut-être entrevoir cette grande divinité celtiquç, si difficile â définir,' que les Romains avaient dégagée dans la forme de dieux nombreux, pour le désigner du nom de Mercure, Mars, Hercule, r:spater, Jupiter. Voir à ce sujet: P. Lambrechts: Contributions à l’étude des divinités celtiques (Bruges 1942), J. M. Stajerman, dans l’ignorance de la littérature récente, donne une interprétation complètement erronée d’Ogmius. Les traces du culte d’Ogmius en Pannonie seront étudiées ailleurs. 101. La question qui se pose dans le cas de l’étai’ en pierre de Zsámbék, peut-être posée dans un sens plus général: l’Hercule qui apparait dans l’art plastique sépulcral, ne serait-il pas l’interprétation classiciue du dieu qui guide les morts Chez les Celtes? L’état actuel des recherches sur le culte d’Ogmius ne nous permet pas d’établir d’ores et déjà une corrélation entre Ogmius et cet Hercule. Le parallèle, cependant, qui subsiste entre Ogmius, dieu protecteur et guide des morts (rappelons ici l’inscription impératrice de la plaquette en plomb de Bregenz), et entre l’Hercule fondant à l’assaut, ayant le caractère d’un dieu protecteur, mais qui apparait aussi sur les sépultures, est digne d’intérêt. 106. Il y a longtemps déjà que les recherches on réfuté la définition ..Hercule—Cycnos”. En se qui regarde le relief „Hercule—Hespéride". le trait le plus caractéristique de la scène, notamment l’arbre, y fait défaut, et le sens de la pomme, en tant que le tableau représente un couple défunt, n’est pas nécessairement mythologique. 28