Sz. Kürti Katalin: Munkácsy Mihály élete és kultusza (Békéscsaba. - Békéscsaba, Békés Megyei Múzeumok Igazgatósága, 2004)

La vie et le culte de Mihály Munkácsy. Résumé

depuis la naissance de ses tableaux colosseaux et de son triomphe qui était une attraction internationale. Nous devons honorer sa fougue créatrice de force énormente, la sincérité de ses intentions près de ses qualités. Il est un des plus grands peintres hongrois qui a obtenu du succès in­ternationaux dans le dernier tiers du 19ième siècle. Il a obtenu une méda­ille d'or du salon Parisien avec son tableau la Cellule du condamné à mort en 1870, son Milton a reçu une médaille d'or à l'exposition mondiale de Paris en 1878. Ses tableaux colosseaux Christ devant Pilate (1881) et le Gol­gotha (1884) ont fait le tour du monde et ils ont eu un détenteur américain comme le Milton qui appartient en propre au Public Library de New York. K. Sedelmeyer le manager de Munkácsy a fait transmigrer ces tableaux. John Wanamaker a acheté les deux tableaux de Christ. Il les a abandonnés à l'exposition mondiale de Paris en 1889 où ils ont reçu le grand prix. Il a tenu les tableaux dans la salle particulière du grand magasin Wanamaker à Philadelphie à partir de 1911. Le Mont-de-piété se trouve à la Métropolitain, la Mort de Mozart se trouve au Musée de Detroit. Ils ravivent le souvenir de lui avec les conférences à l'assemblée du congrès en 1989 exaltant « sa présence « américaine. Il a un tableau aux galeries de tableaux de Moscou, de Stocholm, de Hague, de Munich, de Cologne, de Berlin, de Luxembourg, au Musée d'Orsay et l'Apothesis de la Renaissance décore la cage de l'escalier de Kunsthistorisches de Vienne. Des musées gardent environ ses cent cinquante oeuvres en Hongrie, la collection de la Galerie Nationale Hongroise, la matière de peinture de Mu­sée Déri et de Musée Munkácsy de Békéscsaba sont les plus importantes. Il a à peine sa peinture dans la collection hongroise pendant la vie de Munkácsy: l'Orage à la puszta et lesConscrits l'a représenté à l'exposition du Musée National. Entre 1896 et 1899 les cinq récents tableaux se sont achetés et en plus on a commandé la Conquête du pays pour le bâtiment du parlement. Munkácsy était un homme large (p. exp. la bourse Munkácsy fondée pour les jeunes l'a démontré) mais il n'a pas pensé à la vie postérieure de ses oeuvres. Il n'a pas offert en présent aux musées, certainement il l'a pensé prématuré avec son âge de cinquante ans, il n'a pas prévu sa mort prématu­rée. La situation a été détraquée que sa femme a vendu aux enchères le palais parisien, sa galerie, les oeuvres de Munkácsy déjà en 1896 pendant sa mala­die et ainsi elle a fait tort surtout à la vie postérieure du peintre. La matière de Munkácsy du Musée de Beaux Arts s'est enrichie notablement, sa veuve et ses amis d'autrefois ont vendu leurs tableaux aux premières années du

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