Levéltári Közlemények, 50. (1979)

Levéltári Közlemények, 50. (1979) 2. - Varga János: A felszabaduló rusztikus világ / 175–185. o.

A FELSZABADULÓ RUSZTIKUS VILÁG 185 Задачей дальнейших исследований будет установление того, во скольких местах урегулирова­ние сопровождалось размежеванием земель, подъемом пастбищных территорий, полагавшихся батракам, в какой степени эти меросодействовали тому, чтобы двухпольная система хозяйства сделала шаг вперед по направлению к парованию, а позднее — к системам севооборотов. RUSTRES EN VOIE DE LIBÉRATION János Varga À la base des chiffres provenants de la concentration des données individuelles ainsi que des métrages statistiques détaillés, l'étude estime que les 77% de la société hongroise de 1848 sont devenus gens libres en personne grâce à la révolution. Les rustres libérés ont obtenu un excédent de recette de l'ordre de Ft 100.000 par an grâce à l'abolition des rentes argents. Par suite de l'extinction de la dîme, la quantité des produits agricoles étant à la disposition des rustres à augmenté de 17-18%, en conséquence leur intérêt au marché agraire a aussi augmenté. En même temps les rustres ont échappé à la corvée de 32.125.000 jours par an payée jusque-là en nature. Ce fait signifie qu'en principe la même capacité de travail s'est brusquement délivrée, de plus - étant donné que l'intensité du travail salarié a dépassé de 20—23% environ celle de la dîme selon les estimations contemporaines cette capacité de travail représentait 32.500.000 jours de travail qui pouvait apparaître sur le marché. En réalité bien entendu les serfs ont mis en jeu une partie de l'excédent susmentionné de capacité de travail dans leurs propres fermes, ainsi une capacité de travail restreinte est seulement devenue marchandise. On pouvait cependant constater un phénomène particulier: l'apparition de cette capacité de travail nouvelle en grande quantité tout de même a amené temporairement à l'augment­ation des salaires en mesure de 10-40% suivant les régions différentes - au lieu de la diminution de ceux-ci. Le changement qualitatif des conditions de la lutte des classes était la cause la plus importante de ce phénomène et le monde des rustres a désiré d'en profiter même sans y penser. L'augmentation importante du salaire était quand même limitée par la pauvreté en capitaux de la classe des propriétaires fonciers et par l'accroissement inattendu du volume de la capacité de travail. Les agrariens étant en situation difficile à cause de la dîme perdue ont trouvé le moyen d'en sortir à l'aide de l'exploitation à la base des contrats de louage et de l'élargissement du système du paiement en travail. A cause des différentes formes compliquées et enlacées des propriétés foncières des serfs, on peut seulement estimer approximativement que les 55,4% des surfaces cultivées du pays, et à peu près 76% des surfaces étant en mains des paysans sont devenus unanimement propriétés de paysan grâce à la législation révolutionnaire qui a laissé en suspens le sort des 14,4% des biens susmentionnés; 9,8% des biens en question étaient adjugés au propriétaires fonciers. Ces 25% problématiques des surfaces trouvées en mains des paysans ont présenté plus ou moins de désavantage à peu près aux 46% de la population rustre: entre d'autres, les uns p.e. sont restes encore longtemps exploités de façon féodale à cause de leurs fonds; les autres étaient obligés à céder une partie de leurs fonds aux latifundistes pour pouvoir garder en échange l'autre partie des fonds. À tout prendre, en 1848 les fonds intérieurs et extérieurs de 44% des 568.700 familles rustres étaient également libérés; à cause de l'allodialité, on était obligé à payer toujours des rentes sur les 5% des biens extérieurs et sur les 4% des biens intérieurs (c.à.d. plus de 3% de ces fonds au total). Plus de 42% des rustres sont devenus propriétaires de leurs biens intérieurs, mais ils n'ont pas reçu de biens extérieurs. Il est notoire que le plan de la réglementation censière définitive jusqu'à 1848 était exécuté dans 27,5% des localités du pays; il était en cours d'exécution dans 30,5% des communes, mais dans les 42% des localités on ne s'est même pas pris à la réalisation. Mais il faut faire encore des études ultérieures pour pouvoir répondre aux questions relatives au nombre des localités où la réglementation était reliée au parcellaire des terres; au labour des pâturages appartenants aux colons et à la mesure où elle a facilité le développement de l'assolement vers le façonnage de la jachère verte, puis vers la rotation annuelle des cultures.

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